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 Océane

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MessageSujet: Océane   Océane Icon_minitimeDim 1 Juin 2008 - 19:39

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Nom: Gaillardé
Prénom: Océane
Age et date de naissance: 15 ans, née le 7 octore 1993
Sexe: Féminin
Groupe sanguin: B +
Race: humaine
Alignement: Gentil
Camp: oppressée
Date d’arrivée dans la ville de Heaven: le 13 février 2006





Armes: fusil
Pouvoirs: préssentiment, voit les fantômes (médium)
Point fort et point faible: Son point fort s'est qu'elle peut sentir certaines choses à distance mais son point fort devient aussi son point faible puisquer sa la rend folle.
Technique de combat: La seule chose qu'elle possède pour se défendre s'est un fusil. Malheureusement, elle n'est pas la meilleur tireuse d'élite du monde et à encore beaucoup de difficulter à atteindre sa cible. En fait, la seule raison pour laquelle elle traine son fusil s'est que, si on a pas de fusil ou si on ne sait pas se défendre dans Heaven, on meurt.




Histoire: Histoire: Océane et ses parents étaient originaires du Canada avant de déménager dans Heaven. On ne peut pas dire qu'ils aient eu un passé tragique et ils ne ce sont pas installé dans cette ville à cause d'un quelconque problème. En fait, un beau jour, le père d'Océane perdu son emploi parce que l'usine dans laquelle il travaillait fit faillite. Comme lui et sa femme, qui était femme au foyer, n'avaient aucun diplôme et aucune formation, aucun des deux n'arriva à se trouver une job descente. S'est alors qu'ils entendirent une rumeur sur une ville, surnommé Heaven, dans laquelle on cherchait des employer pour tout de sorte d'emploi. Paraissait-il que personne n'osait si rendre et donc, qu'on y embauchait n'importe qui pour n'importe quoi. Se qui s'en suivit ensuite est assez prévisible, monsieur Gaillardé, ainsi que beaucoup de ses collèges de travail, déménagèrent là-bas dans l'espoir de trouver un emploie stable pour nourrir leurs familles. Océane suivit donc ses parents dans cette ville dont elle n’avait jamais entendu parler auparavant. Étant habituer de vivre avec ce qu’on lui donnait, cette décision ne la frustra pas le moins du monde, elle avait pleinement confiance en les décisions de ses ainées et quitta école et amis avec du regret, mais pas assez pour l’empêcher de recommencer à neuf.

Une fois arrivé, rien ne se passa. Le déménagement se déroula sans anicroche et son père se trouva un emploi trois fois mieux payé que le précédent en moins d’une semaine. Par contre, Océane sentait parfois que quelque chose commençait à déraper. S’était un petit picotement désagréable qui lui passait à travers tout le corps, et une petite voix, minuscule, presque inaudible, qu’elle entendait quelque fois et qui lui murmurait :

« Va t’en. »

Mais, ce n’était pas assez pour être pris en considération. Et les semaines passèrent et plus le temps avançait, plus les choses allaient mal. Chaque jours, ses parents se chicanaient de plus en plus pour des détails toujours insignifiant, alors qu’avant, ils n’avaient jamais monté le ton l’un et l’autre. Il y avait aussi cette peur que la jeune fille ressentait de plus en plus. Elle avait peur de monter seule dans sa chambre, elle qui avait toujours dormi la porte fermée et les lumières closent, se surprenait à laisser la porte ouverte et à dormir sous la lueur de la lumière de la salle de bain. Elle qui, avant, chaque fois qu’elle le pouvait, adorait profité de sa solitude puisque sa mère était toujours là, devenait de plus en plus dépendante de la présence des autres et refusait de rester seule plus d’une heure dans une pièce, sauf si s’était pour aller dormir. Pourtant, la maison dans laquelle elle vivait n’avait rien d’effrayant, il y avait des fenêtres partout et la couleur des mus était vive… Elle avait 15 ans, il était donc hors de question d’avoir peur des monstres ou des fantômes qu’elle savait inexistants. Mais alors, pourquoi tremblait-elle chaque nuit ?

« Va t’en »

Après un mois, la nuit et sa chambre s’étaient mis de mèche contre elle. Chaque soir, elle traversait silencieusement la pièce pour se rendre à son lit, en faisant le moins de bruit possible. Si elle faisait ne serait-ce qu’un son, elle allait les réveiller.

« Réveiller qui ? »

Et sa petite voix lui répondait dans un murmure et un sérieux qui lui glaçait le sang :

« Tu ne veux pas le savoir. »

Une fois dans son lit, elle se dépêchait de s’enrouler complètement dans ses couvertures, laissant seulement un espace pour son visage. S’était son bouclier, on ne pouvait plus la toucher si elle était dans ses couvertures. Et sans jeter un seul regard à la pièce, si elle l’avait fait, elle aurait pu les voir, elle fermait les yeux et priait pour s’endormir le plus rapidement possible. De toute ses force, Océane se concentrait pour ne penser à rien et surtout, elle essayait de se mettre une chanson qu’elle aimait bien en standby dans sa tête. Sinon, elle entendait des pas avancer lentement vers elle, des pas si silencieux qu’elle se demandait si se n’était pas elle qui les inventait, et ces pas s’arrêtaient devant son lit, face à son dos, elle leur faisait toujours dos, et, après quelques minutes, le manège recommençait, jusqu’à ce qu’elle ne s’endorme.

Tout dérapait de plus en plus. Ses parents devenaient de plus en plus violents, ils en venaient même aux coups, et la voix qu’elle entendait dans sa tête devenait de plus en plus forte.

« Va t’en ! Va t’en ! »

Et puis, un malheur arriva. Un beau jour, son père ne rentra pas à la maison. On ne s’en inquiéta pas au début puisque la veille, il s’était chicaner avec sa femme. Même Océane et sa mère n’en parlèrent pas. L’une trop occuper à le haïr tandis que l’autre priorisait ses peurs de gamines. Un autre jour passa, il ne rentra toujours pas. On commença alors à se poser des questions et les deux femmes partirent à son travail en espérant le retrouver. Une fois arrivée, elles apprirent qu’en fait, il n’avait jamais travaillé ici, et même qu’on avait jamais entendu parler de lui. La panique s’installa. Leur avait-il menti ? Est-ce que les autres leur mentaient ? Le cœur en peine, la tête à ce mystère, elles retournèrent chez elles et firent la seule chose qu’elles pouvaient faire, elles attendirent. Jour et nuit, pendant près de deux semaines, mère et fille passaient leur temps au salon, épiant la porte de l’entré, espérant à chaque bruit qu’elles attendaient, de voir revenir l’homme de leur vie. Mais il n’y avait jamais rien et les larmes coulaient toujours. Bientôt, on vint à leur rencontre pour qu’elles continuent de payer la maison et, la femme tenta d’expliquer que son mari avait disparue, qu’il l’avait surement quitté et que s’était lui qui, normalement, payait les dettes.

On lui répondit, sur un ton froid et sérieux que s’était toujours elle qui avait payé la maison et qu’elle n’avait jamais eu de mari. Dans un moment de folie, la mère tenta de tué l’homme avec un couteau de cuisine.

Océane se demanda alors si elle n’avait pas toujours été folle. Son père avait été là. Elle se souvenait de lui. Du moins, elle se souvenait de lui avant qu’ils ne viennent habiter ici. Mais depuis le déménagement, que savait-elle sur son père ? Quand était la dernière fois qu’elle l’avait vu partir travailler ? Ses yeux s’agrandirent, elle ne se rappelait pas. Tous ce qu’elle se rappelait s’était la terreur qu’elle ressentait quand elle devait aller se coucher dans son horrible chambre. Cette même peur qu’elle avait dans chacune des pièces de la maison. Mais ses parents la dedans ? Son père ? Elle le voyait mais il était flou. Pourtant il s’était chicané mainte et mainte fois avec sa mère. Le bruit de leurs disputes faisait écho dans sa tête mais elle était encore incapable de se l’imaginer dans cette maison. S’est à ce moment qu’elle se sentit devenir folle.

Deux jours après l’incident du couteau, on les expulsa de leur maison. Les deux femmes étaient maintenant à la rue. On du sortir sa mère de force qui refusait de céder en criant que si elle ne restait pas, il ne pourrait jamais les retrouver. On la jeta au sol avec froideur et brutalité, n’écoutant pas le moins du monde ce qu’elle avait à dire. Et pour la première fois depuis longtemps, Océane se sentit impuissante.

Ses yeux s’ouvrirent alors sur un tout autre univers, l’extérieur de la maison. Avec tout les problèmes qui leur étaient arrivé, personne n’avait pensé à son année scolaire qu’elle devait reprendre et donc, la jeune fille n’était jamais allé dehors sinon, que pour accompagner sa mère pour acheter certaines choses. Mais si la maison était effrayante, l’extérieur l’était encore plus. Le ciel était d’un gris morbide il allait surement pleuvoir et pourtant, l’air était aussi sec que dans un désert. Les maisons, chacune alignées parfaitement à l’autre, la narguaient avec leurs airs amicaux mais hypocrites. Comme si elles attendaient le moment opportun pour la dévorer. Et les gens, les gens, dans les rues, il n’y avait personne, comme dans une ville fantôme, une ville morte. Le peu de passant qu’elle voyait avaient le teint pale comme des cadavres et lui lançaient un sourire morbide. Sans aucune gêne, ils ne les lâchaient pas des yeux elle et sa mère, et Océane pouvait presque les entendre murmurer, regarde nous, tu vas bientôt être des notres.

« VA T’EN ! »

Tout dérapait ou tout avait déjà dérapé. Puis, elle se trouva un courage qu’elle ne se connaissait pas et se dit qu’elle devait sauver sa mère. La tirant de force loin de leur ancienne maison, elle lui dit qu’il fallait quitter cet endroit, qu’elles pourraient ensuite revenir chercher leur père mais que pour l’instant elles devaient se sauver elle. Mais sa mère la rejeta avec une tel force, que sa tête se heurta contre un mur et avant de perdre conscience, elle entendit sa mère hurler et courir vers la maison, il y eut ensuite un coup de feu et tout devint noir.

Lorsqu’elle se réveilla, il faisait noir et sa mère n’était plus là. En fait, plus personne n’était là. Sans bouger, la gamine se mit à pleurer. Que s’était-il passé ? Elle ne le savait pas, mais, elle savait qu’elle ne reverrait plus sa mère.

« Oubli-là. »

En pleurant, elle tenta de se rappeler ce qu’avait été ses parents avant de venir ici, un homme et une femme plein d’amour, prêt à tout les uns pour les autres. Elle tenta d’oublier la violence de son père. Les coups qu’elle l’avait entendu donner à sa mère. Elle tenta d’oublier la folie de sa mère, son désespoir et sa tristesse. Un dernier espoir lui vint, la police. Pourquoi n’y avait-elle pas pensé plus tôt ?

Séchant ses pleures, elle se mit en route et, surmontant sa peur, approcha le premier passant qu’elle vit. Étrangement, la ville semblait plus vivante le jour que la nuit.

S’était un homme d’allure jeune, il avait le teint aussi pâle que les autres et portait un uniforme militaire. Ses cheveux noirs rehaussait son air de mort vivant et, lorsqu’elle s’approcha de lui, l’homme lui montra toute ses jolies dents parfaitement blanches et demanda :

« Bonjour ma jolie. Qu’est-ce qu’une petite poupée comme toi fait dehors à cette heure ? »

En s’efforçant pour ne pas trembler, Océane lui demanda, sans répondre à sa question :

« Monsieur, ou se trouve le porte de police ? »
L’homme, qui continuait de la fixer intensément la prit par les épaules et, relevant la tête vers le ciel, se mit à rire comme un cinglé, comme s’il riait avec Dieu lui-même. Océane tenta de reculer mais, ses mains la retenaient. Lorsqu’il s’arrêta enfin, ses grands yeux vide se reposèrent sur elle et il s’abaissa à son niveau, de sorte de n’être plus qu’à quelques centimètres de son visage.

« La police, ici, sa n’existe pas. Si tu meurs, on t’oublie. Il n’y a pas de justice ici ma belle ! Il y a toi, moi et eux ! »

Derrière lui, Océane aperçut d’autres hommes en uniforme militaire qui ressemblaient beaucoup à l’homme, tous le même regard vide. Pourtant, il n’y avait jamais eu personne… Puis, tous perdirent leur grand sourire et l’homme baissa la tête.

« On a pas su, on ne pouvait pas savoir ! ON NE POUVAIT PAS SAVOIR !!!!!!»

Et tous les autres disparurent, comme s’il n’avait jamais été là, devant les yeux de la jeune fille effrayée. De toute ses forces, Océane cria, elle criait son père, sa mère, cette folie, sa vie… Et tous redevint noir. À son réveille, elle était sur la rue et un fusil gisait à coté d’elle. Sur le fusil, il y avait un mot :

« En espérant que tu puisses t’échapper. »

Et sur cette dernière phrase, Océane continua sa route, dans l’espoir de trouver un moyen de sortir d’ici.

Caractère: Avant, Océane était une fille heurese et patiente, avec le rire facile. Depuis ce qui est arrivé à sa famille, elle est devenue quelque peu paranoiaque. Dans cette ville maudite, elle ne fait plus confiance à personne mais son caractère déterminé l'empêche de tomber totalement dans la folie. Courage, elle n'est pourtant pas stupide. Si elle peut éviter de se battre, elle le fera. Mais si quelqu'un a besoin d'elle, elle tentera d'aider sans faire quelque chose de stupide comme s'interposer dans un combat dans lequel elle n'a aucune chance.
Apparence physique: Très maigre, puisque depuis son arriver l'appetit est partit, elle donne l'impression d'avoire 13 ans alors qu'elle en a en fait 15. Ses cheveux sont longs et blonds sales puisqu'elle ne les a pas lavé depuis longtemps mais, son apparence en tant que tel laisse à désirer. S'est ce que sa donne de ne pas avoir de maison.



Ce que votre perso aime: Le fast food, avant elle adorait et sa lui rappelle de bon souvenir de sa vie avant. Malheureusement, il n'y a pas de fast food ici et même s'il y en aurait, elle n'a pas d'argent pour s'en payer.
Ce que votre perso n’aime pas: La ville au grand complêt ce qui est comprenable après ce qui est arrivé à ses parents et à elle-même.
Lien familiaux: Ses deux parents
Animal possédé: non

But: Sortir de la ville
Autres renseignements:[Facultatif]




Comment avez-vous découvert le forum?: Google
Votre niveau en RPG?: moyen
Quelle est la mascotte du forum?:
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Equipe administrative
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Niveau de RPG : Correct
Nombre de messages : 2753

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MessageSujet: Re: Océane   Océane Icon_minitimeDim 1 Juin 2008 - 20:03

Bienvenue à toi j'aime beaucoup ton histoire. Je te valide.
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Océane
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