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 Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE]

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MessageSujet: Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE]   Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE] Icon_minitimeMer 3 Juin 2009 - 8:23

..:Votre identité:..



Photo:



Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE] Chuugi10


Nom: Erei
Prénom: Chuugi
Surnom: Chu
Age et date de naissance: 18/04/1623
Sexe: masculin
Groupe sanguin: pas de sang mais O+ à l’époque
Race: humain zombi T_T
Alignement: gentil de chez gentil de chez super méga gentil !

..:Votre vie à Heaven:..

Date d'arrivée dans la ville: Chuugi y a toujours vécu
Camp: Résistance
Groupe de l'ombre: ---
Rang au sein de la résistance: scientifique (surtout qu’en fait il est infirmier et passe son temps à se soucier et à soigner les autres)


..:Technique de combat:..

Armes: aucune. Enfin il a bien ses ciseaux pour les bandages, quelques bandes de caoutchouc pour les garrots, mais sinon rien de bien dangereux, et encore il ne sait même pas s’en servir.
Pouvoirs: les phéromones. Ce pouvoir basé sur les odeurs peut faire que Chuugi sent le pain frais et la campagne ou alors la mort et la chair en décomposition, assez utile pour repousser l’ennemi car il peut pousser l’odeur jusqu’à faire pleurer l’ennemi, soit de dégoût (et le faire vomir de révulsion), soit de nostalgie et de douleur au cœur. Le deuxième pouvoir est celui de prendre l’aspect physique qu’il avait avant sa mort ou celui qu’il avait après que la malédiction du démon fut lancée (voir plus bas). Disons qu’en gros ses transformations physiques font voyager son corps dans le temps entre le moment où la malédiction fut lancée et aujourd’hui. Chuugi préfère, bien sûr, conserver son apparence du moment où la malédiction fut lancée, quand il était encore normal.
Point fort et point faible: des points forts, Chuugi ne s’en trouve pas. Pourtant il est capable d’accomplir des miracles, juste poussé par les sentiments et la dévotion qui le caractérisent. Car il est d’une loyauté et d’un respect sans failles ce qui en fait un allié précieux. Points faibles, il s’en trouve plein, et n’a pas forcément tort, malheureusement. Il a tendance à hésiter pour tout ce qu’il fait et entreprend, il est trop crédule (à ne pas confondre avec naïf ; on peut faire croire tout ce que l’on raconte à une personne crédule, mais une personne naïve a en plus le défaut de ne rien connaître sur la vie), et aussi un peut trop altruiste (il faut le voir se jeter sur un soldat ennemi pour essayer de le soigner d’une mort aussi imminente qu’elle est inéluctable).
Technique de combat: aucune connue.

..:Compétences:..

Force: 1
Endurance: 1
Vitesse: 1

..:Descriptions:..

Caractère: Chuugi a un caractère facile. Il a tendance à se laisser marcher sur les pieds, ne voulant pas s’imposer auprès des autres. Il préfère plutôt être discret, mais récemment il commence à faire parler de lui car il est doué pour soigner les gens et est aussi très à l’écoute. Attentif au détail, attentionné, il a tout de l’infirmier modèle ce qui n’a pas manqué, en ces temps troublés, d’être très utile. C’est ainsi qu’il est sorti du lot de la population de Heaven, de la masse commune, pour s’élever au rang de personnage notable : tout simplement parce que les bienfaits qu’il a accomplis le rendent reconnaissable par la majorité de la population. Pourtant c’est un être modeste qui ne veut surtout pas attirer l’attention. À tel point, d’ailleurs, qu’il s’excuse tout le temps quand il prend la parole plus d’une dizaine de secondes d’affilée. Sensible, il peut être blessé par la moindre remontrance mais comme il prend toujours sur lui, ça ne se voit pas ! ^_^
Apparence physique: Chuugi, en temps normal, est blond cendré, avec des yeux bruns et une peau pâle. De taille moyenne, d’un physique plutôt frêle, Chuugi a un physique des plus banals. Pourtant, lorsqu’il active son pouvoir, il peut ressembler, au choix, à un squelette ou un cadavre à moitié décomposé. Pour le cadavre, je vous laisse le loisir d’imaginer mais vous aurez bien vite l’occasion de voir ce à quoi il ressemble lorsqu’il active son pouvoir.

..:Préférences:..

Ce que votre perso aime: être utile, le calme la paix, la bonne santé et que les gens soient heureux.
Ce que votre perso n’aime pas: la guerre, la famine les maladies, la pauvreté, la mort et le sang.
Liens familiaux: aucun (il faut dire que s’il en avait encore… il faudrait se poser des questions)
Animal possédé: aucun

But: faire de son mieux.

Autres renseignements: ---

..:Renseignements complémentaires:..

Comment avez-vous découvert le forum?: via un topsite
Votre niveau en RPG?: moyen
Quelle est la mascotte du forum?: vu par Ayu


Dernière édition par Erei Chuugi le Mer 3 Juin 2009 - 8:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE]   Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE] Icon_minitimeMer 3 Juin 2009 - 8:23

Histoire:

1633. Japon.
Chuugi, né d’une famille de serviteurs au château du seigneur féodal, avait toujours connu les couloirs et la cuisine comme terrain de jeux. Plus frêle que les autres garçons, il ne jouait pas avec eux et préférait traîner dans les pattes des adultes voulant sans cesse se rendre utile auprès d’eux, surtout aux cuisines. Sauf qu’avoir un gamin dans les pattes… pas top. Ainsi, les ‘grands’ avaient compris le truc et avaient assigné Chuugi aux tâches courantes comme envoyer des messages à telle ou telle personne. Coursier, c’était devenu le quotidien du garçonnet. Le château appartenait à un seigneur féodal, dont la charge incluait aussi d’être le chef du culte d’Hikari, la Déesse de la Lumière, protectrice de tous. La déesse les protégeait, via les troupes du seigneur féodal, de Jigoku, le dieu des Enfers Noirs, le Maître de l’Ombre et du Chaos, de Jigoku, le roi des Démons. C’était le fils de ce seigneur,Makkuro, qui dirigeait lesdites troupes. Makkuro qui était connu pour son ardeur sur le champ de bataille. Ses cheveux et son armure noirs, ainsi que son agilité au combat qui le rendait intouchable lui avaient valu son nom. Hebi Makkuro, le Serpent Noir de Jais. Selon son père, il était nécessaire que ce soit lui qui dirige ses troupes car la Déesse lui avait réservé un destin hors du commun. Makkuro était le Yang, la partie forte et froide de la nature humaine. Le jour où il aurait trouvé son Yin, la sensibilité et la faiblesse incarnées, il pourrait sonner l’assaut final aux légions démoniaques de Jigoku.
Un jour où Chuugi courait dans les couloirs (il avait alors 7 ans, à l’époque) avec des livres à transmettre dans les bras, il heurta quelqu’un qui sortait d’une pièce. Levant les yeux, il se rendit compte qu’il s’agissait du si redouté Serpent Noir de Jais, Hebi Makkuro. Les livres étaient tombés au sol et Chuugi s’inclina le plus bas qu’il pouvait le faire.


Excusez-moi, je suis vraiment désolé ! Excusez-moi !

Et il commença à rassembler les ouvrages éparpillés. Une main brune, musclée, se posa sur l’un d’eux alors que Chuugi s’en saisissait.

Laisse, je vais t’aider, fit une voix grave, profonde à vous remuer les entrailles. C’est aussi ma faute…

Non, c’est bon, je peux le faire !, répliqua Chuugi, tête toujours baissée.

Le Serpent Noir de Jais eut un rire franc et joyeux ce qui fit lever les yeux au garçon, surpris qu’une tel rire puisse sortir de la gorge d’un homme dont la réputation le disait capable de tuer 20 démons en un coup et sans état d’âme.

Eh, bien petit, qu’y a-t-il ? Tu as peur ?

La personne qui lui faisait face n’avait que 20 ans, tout au plus et le regardait d’un air ouvert. Qui l’eût cru ? Un gars aussi jeune avec une telle réputation ? Pourtant, à ses yeux, d’un noir aussi noir que l’étaient ses cheveux et ses vêtements, on pouvait voir qu’il avait grandit trop vite. L’on voyait le poids de responsabilités à assumer trop jeune, depuis sans doute des années maintenant. Le jeune guerrier lut la couverture du livre qu’il tenait :

’Histoire des Guerres Démoniaques’ ? Un jeune garçon comme toi qui s’intéresse à ça ?

À vrai dire, Monseigneur, ce n’est pas pour moi, c’est juste une course que je dois faire pour un des nobles de la cour de votre père. Moi-même je ne sais pas lire alors il me serait impossible de lire un quelconque ouvrage…

Il avait à nouveau baissé les yeux, gêné d’avouer cela devant son seigneur, comme s’il s’en plaignait ; il avait peur que ses paroles fussent mal perçues.

Tu ne sais pas lire ? Mais il faut que tu apprennes, je suis sûr que ça te plaira !

Makkuro lui fourra les livres dans les bras.

Finit ta course et rejoint moi dans mes appartements, c’est la porte devant laquelle nous nous tenons à l’instant et par laquelle je suis sorti.

O-oui… Bien, Seigneur !

Et Chuugi se mit à courir, le cœur débordant d’excitation. Il allait apprendre à lire ! Lire ! C’était sans doute un nouvel univers qui s’ouvrait devant lui. Chuugi sentait déjà toutes les connaissances du monde gravitant autour de lui, ressemblant à des fruits mûrs prêts à se laisser cueillir. Et celui qui allait lui apprendre n’était autre qu’Hebi Makkuro, le Serpent Noir de Jais, qui finalement avait l’air d’être gentil. Chuugi s’acquitta de sa tâche auprès du noble en lui confiant les livres tant attendus, puis repartit, se demandant s’il était digne de s’approcher aussi près d’un personnage tel que celui-ci, aussi surprenant, mystérieux et ambigu. Lorsque Chuugi arriva devant les appartements, il frappa légèrement à la porte ; si légèrement, d’ailleurs, qu’une personne normale n’aurait rien entendu, en temps habituel. Mais bon : Hebi Makkuro n’était pas une personne normale.

Entre !, dit-il.

Chuugi s’exécuta et trouva le jeune homme assis dans un fauteuil, près de la fenêtre, avec un livre sur les genoux. Makkuro lui présenta le fauteuil qui lui faisait face.

Assieds-toi, je t’en prie. Je n’ai pas pensé à te demander ton nom, comment t’appelles-tu ?

Chuugi, Monseigneur, répondit le garçon, tête baissée, après s’être installé.

Makkuro eut un claquement de langue agacé.

Ecoute, Chuugi. Ici, dans cet appartement, on laisse tomber les conventions et le protocole, je déteste ça. Appelle-moi par mon prénom. De plus, j’aimerais que tu arrêtes fr baisser la tête comme si tu étais battu ou qu’on t’avais sermonné. Tu es ici de ton plein gré, et tu ne me gênes pas puisque c’est moi qui t’ai proposé de venir. Compris ?

O-oui, Mons-euh… Makkuro-sama.

Hem… m’enfin, je ne pense pas que je vais pouvoir obtenir plus, de toute façon.

Et ainsi, le quotidien de Chuugi venait de changer alors qu’il avait tout juste 7 ans. Au fur et à mesure des leçons, l’esprit du garçon se développa, ainsi que la relation entre els deux garçons. Très vite, Chuugi sut que la vie de Makkuro-sama était très solitaire. Il passait son temps seul dans son appartement ou sur le front à repousser les incursions démoniaques. Aussi le garçonnet entreprit-il de prendre soin de son mentor et ami. Très vite, il devint le serviteur attitré du Serpent Noir de Jais, tenant son appartement (dans lequel il s’était installé) aussi propre qu’un sou neuf pour que le jeune homme puisse le trouver propre à la fin de ses missions. Chuugi avait aussi développé un don pour la médecine, ayant puisé dans tous les livres que possédait son seigneur pour pouvoir soigner celui-ci lorsqu’il revenait blessé. Le nombre de compresses, de bassines d’eau chaude et de pansements qu’il dut utiliser ! Et la guérison physique n’était pas tout. Car Chuugi avait aussi développé ce don de trouver les mots pour réconforter son seigneur après les batailles qui lui minaient le moral. Chuugi devait de plus en plus souvent réconforter un Makkuro en larmes, pleurant lui aussi dans les heures où lui finissait par s’endormir d’un sommeil sans rêves. Makkuro s’agitait souvent dans son sommeil et Chuugi devait parfois se lever pour le prendre dans ses bras et le réconforter dans son sommeil en l’entourant de ses bras et en lui murmurant des mots apaisants, comme une mère l’aurait fait avec son enfant. À tel point, d’ailleurs, que le jeune seigneur finit carrément par s’endormir juste après ses crises de larmes, épuisé qu’il était, alors que Chuugi le tenait encore dans ses bras. Il fut ainsi obligé de faire ses nuits avec son seigneur, dormant peu pour veiller sur son sommeil, et ne relâchant jamais son étreinte.
Bien sûr, cela ne manqua pas d’attirer la curiosité d’Hikari, qui reconnu en Chuugi le Yin qui manquait à Makkuro. C’était le soutien qui lui manquait. Il manquait juste une chose : que Makkuro reconnaisse lui-même le besoin qu’il avait que Chuugi soit à ses côtés, qu’il le reconnaisse comme étant son yin tant attendu. Car dès qu’il l’aurait reconnu comme le Yin, la boucle serait bouclée et Makkuro révèlerait sa véritable force. Mais, forcément, ce qui attirait l’attention d’Hikari ne manquait pas d’attirer celle de Jigoku. Et il y vit un moyen de battre enfin les humains de façon définitive…

C’était la nuit. Des ombres glissaient entre les buissons des jardins du palais. Chuugi s’était levé pour réalimenter son corps en théine et pouvoir tenir la nuit à s’occuper et les ombres avaient atteint le couloir. Makkuro, qui avait le sommeil léger quand Chuggi n’était pas à ses côtés, fut réveillé pas un bris de verre ou de porcelaine. Il ne lui fallu que quelques secondes pour arriver sur les lieux avec son katana et voir que la théière s’écoulait, brisée, sur le parquet de la cuisine. Ce fut comme une douche glacée ; il faut dire que d’un coup, le guerrier suait à grosses gouttes glacées, et avait les mains moites.


CHUUGIIIIIIIII ! ! !

L’homme partit en courant dans les couloirs, suivant les bruits de course qui s’éloignaient. Il ne lui fallut pas longtemps pour se rendre compte qu’ils se dirigeaient vers le temple d’Hikari. Makkuro accéléra le pas, sachant désormais où les ravisseurs se rendaient. Arrivé au temple, il fut d’abord ébloui, car la pièce immense était illuminée par le cristal de l’autel, au centre. Puis il vit deux démons. L’un d’eux tenait Chuugi, à genoux, par les cheveux et lui relevait la tête, la lame d’une dague appliquée contre la gorge. Ils semblaient vouloir égorger le garçon devant l’autel d’Hikari, en signe de moquerie. C’était bien le style de Jigoku d’ordonner ce genre d’action à ses démons…

CHUUGIIIIIIIII ! ! !

Les démons rirent et la lame fit son œuvre.

NOOOOOOOON ! ! !

Le démon jeta le corps au sol et Makkuro se jeta sur Chuugi. S’agenouillant, il prit délicatement la tête blonde du garçon sur ses jambes repliées.

Chuugi, Chuugi, dit-moi quelque chose, je t’en prie. Tu ne peux pas, pas toi… qu’est-ce que je ferais sans toi… non…

Les sanglots s’emparèrent de sa gorge et de sa voix, lui coupant la parole et el souffle, alors qu’il se rendait compte qu’il n’y avait plus rien à faire. Un hurlement un flot de sang et les démons étaient décapités. Le Serpent Noir de Jais tourna son visage plein de larmes vers le cristal et l’autel.

Sainte Hikari, je vous en conjure, sauvez le ! Faites quelque chose, vous uqi pouvez tout !

Navrée, mon Héros, répondit une vois claire venant du cristal, mais tu sais que nulle personne ne peut revenir d’entre les morts, c’est la règle.

NON ! NON ! Quelqu’un ! N’importe qui ! Faites quelque chose !

Un rire retentit, un rire profond et sonore venu de nulle part. Apparut alors le maître des démons, Jigoku en personne.

VOUS ! Tout est de votre faute !

Makkuro commença a déporter la tête de Chuugi sur le côté pour pouvoir se lever tandis que de l’autre main il se saisissait de son katana.

Attend, jeune humain. Car je puis, moi, ramener ton jeune ami. Je peux ramener son âme dans son corps mais cela se fera en échange de la tienne. Qu’en dis-tu ?

Jigoku aurait pu se contenter de garder Chuugi mort, Le Serpent Noir de Jais serait tombé rapidement, sans lui, et du coup le reste des humains aussi. Mais il ne pouvait s’empécher de proposer ce petit marché assez marrant, qui lui proposait de sauver son ami contre sa propre vie et, du coup, le triomphe assuré des Téèbres sur la Lumière puisque Makkuro était le dernier rempart de l’humanité, nous l’avons déjà dit, qui, avec ses troupes, combattait les démons.
Makkuro regarda le roi des démons droit dans les yeux et lui dit d’un ton haineux :


Je sais ce que tu cherches à faire mais sache que j’accepte tout de même ton marché, démon. Je n’ai plus rien à faire de ma vie ni de celle des autres. Pourtant… tu vas payer pour ce que tu as fait, même si je dois mourir pour ça.

Le démon eut un rire franc et… démoniaque.

Fais ce que tu veux, Hebi Makkuro…

Le roi des démons articula quelques paroles dans son langage guttural et Chuugi ouvrit les yeux. Mais quelque chose clochait : la blessure ne s’était peut-être refermée mais le corps restait aussi blanc que s’il était toujours mort. Makkuro se tourna avec rage vers Jigoku.

Qu’as-tu encore fait démon ? Son âme est revenu mais son corps est toujours mort !

L’être sombre ricana

Ta déesse avait raison : nul ne peut enfreindre les ravages du temps. J’ai peut-être la possibilité de ramener son âme, tout le sang qu’il a perdu et la dégénérescence post-mortem des cellules sont irrécupérables, surtout au niveau du cerveau. Mais qu’est-ce que je raconte ? Il faudra des siècles à des êtres aussi attardés tels que vous pour découvrir tout cela… La médecine est une chose ardue pour les êtres humains. Maintenant, ton âme est mienne !

L’être noir plongea sa main fantomatique dans le corps frémissant de Makkuro et se saisit de l’âme dont il était question.

ENFOIREEE ! Tu me paieras ce que tu as fait !

Dans un sursaut de rage, Makkuro profita que le démon eût baissé sa garde et le frappa de son épée sous le bras, lui enfonçant sa lame en travers du torse jusqu’au cœur. Jigoku eut un spasme et recula, le katana planté en travers du corps. Chuugi, désormais debout, put voir le démon faire trois pas en arrière, l’âme de Makkuro à la main. Avant que les derniers doigts éthérés ne quittent le corps du guerrier, celui-ci eut le temps d’articuler :

Désolé, Chuugi-kun, tout est ma faute… sans moi, tu n‘aurais pas eu à subir cela…

Une larme roula sur sa joue.

Ainsi se termine notre histoire. Ces évènements eurent lieu dans le petit village d’Iven qui plus tard, après l’influence américaine, serait rebaptisé Heaven. Et Chuugi traversa les siècles, immortel et immobile dans cette ville, le cœur lourd d’un sombre passé où, pour vaincre les ténèbres, il avait fallu sacrifier la lumière…
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Ayu Horrow
Prince psychopathe

Ayu Horrow


Race : Esprit
Niveau de RPG : de moyen à bon
Nombre de messages : 5694

Profil du personnage
Armes portées: Deux sabres noirs.
Pouvoirs maitrisés: Invocation (Sabres, quelques créatures à haut niveau); Explosion de tout ce qui est matière vivante; vitesse supérieuse à la moyenne (Ses stats vitesses sont multipliées par 1,5)
Particularités physiques actuelles: -

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MessageSujet: Re: Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE]   Erei Chuugi, le cadavre médecin [VALIDEE] Icon_minitimeMer 3 Juin 2009 - 8:27

Fiche validée
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