..:Votre identité:..Photo: Nom: Angeline
Prénom: Lys
Surnom: Doc
Age et date de naissance: 26 ans
Sexe: Féminin
Nationalité: Francais
Groupe sanguin: O+
Race: Succube
Alignement: Neutre
..:Votre vie à Heaven:..
Date d'arrivée dans la ville: 2001
Métier: Inconstant
Camp: Ombre
Groupe de l'ombre: G.R.S.O.
Rang au sein de la résistance:..:Technique de combat:..
Armes: Injecteur et vaporisateur de toxine
Pouvoirs: Charme (Racial), Intrusion mentale
Point fort et point faible: Intelligence (Fort) : Contrairement à la Succube de base, Lys à une rimbambelle de connaissance sur les autres espèces occultes et donc sur leur faiblesse. Ses connaissances en toxicologie lui offre bien sûr de nombreuses connaissances en drogue et manière de neutraliser une personne sans l'affronter
Force physique (Faible) : Lys à toujours était quelqu'un très peu porté sur les activités physiques. Elle est très peu habitué aux efforts intense et préfère de loin concentrer son attention sur le controle de son pouvoir plutot que sur une quelconque activité sportive, si ce n'est le yoga.
Technique de combat: La surprise. On ne se méfie jamais de l'efficacité d'un gaz paralysant ou d'une toxine bien placée
..:Compétences:..
Force: 4
Défense: 4
Magie: 12
Endurance: 4
Vitesse: 6
..:Descriptions:..
Histoire: « Cette fille est dangereuse ... je sais que ce n'est pas de sa faute ... Elle a tué ce gamin bon sang ... Non je ne veux pas la tuer mais ... Je ne peux pas la garder avec moi je vous dis ! ... elle ... elle me fait peur »
Ces mots, ils se sont répétés tellement souvent que j'ai l'impression qu'ils sont imprégnés dans ma chair. Depuis toute petite, je n'avais jamais connu mes origines, mes vraies origines m'avaient toujours été inconnues. On raconte que j'avais été déposé devant un orphelinat à l'age de 3 ans, que j'attendais sans me rappeler qui m'avait emmené là. Je ne me souvenais que de quelques mots m'interdisant de montrer mes petites ailes aux autres et surtout de ne jamais au grand jamais tenter d'aimer ceux qui m'entouraient. Je me rappelle de cette voix pleurant, suppliant avant de disparaître. Malheureusement, les soeurs qui m'avaient recueilli n'avaient d'autre choix que de me laver à mon arrivée dans leur institution. C'est à ce moment là qu'elle virent deux petites protubérances dans mon dos et me prirent pour un ange. C'est de là d'où vient mon nom Angeline. Mon prénom, Lys, lui venait du fait que c'était la fleur préféré de la mère supérieure et que ma peau était aussi blanche que cette fleur. Lys Angeline, un nom magnifique que tout les autres enfants semblaient m'envier. De manières naturelles, tous voulaient devenir mes amis tous sans exception. Ils semblaient tous intéressé par ce que j'avais à dire même si cela n'était pas intéressant, cela m'effrayait terriblement. Je ne les comprenais pas et, bien souvent, je restais dans mon coin, isolé des autres.
Plus je grandissais plus mes ailes grandissaient, plus mon don semblait s'accentuer, et plus je commencais à avoir une sensation étrange, certaines fois que je croisais le regard des autres enfants, il me semblait entendre leur voix en double. Comme s'il y avait un léger déphasage entre deux même paroles. Cela ne me dérangeait que légèrement d'autant plus que la plupart du temps rien ne différentiait les deux voix. Au bout d'un certains temps, je compris que certaines fois, quand je croisais le regard des autres élèves, j'entendais leur pensées superficielles, ce qui étaient toujours un certain atout pendant la période d'examen. C'est durant cette période que le premier « incident ». Ce fut la première fois que j'ouvrais mon coeur à quelqu'un.
Elle s'appelait Elois, elle avait mon age. Elle avait toujours tenté de devenir mon amie mais je ne savais jamais si elle le faisait parce qu'elle m'appréciait ou simplement parce que mon aura l'attirait. Un jour, j'ai baissé ma garde et j'ai accepté qu'on devienne de simple amie. Pendant plusieurs mois, nous devinrent proches, nous nous racontames nos secrets respectifs jusqu'à ce qu'elle commence à se plaindre de maux de tête. Quelques jours plus tard, Elois mourait sans explication. L'autopsie montra alors une étrange hémorragie cérébrale chez la gamine, chose impossible pour une fillette de son age. L'organisation de la santé s'apprêta à faire son enquête quand une famille décida d'adopter m'adopter. Mais après un an, quand je commençais à leur faire confiance, ils mourraient tous d'une hémorragie cérébrale. Bien vite qu'on me taxa de porte malheurs mais les gens étaient bien loin du compte. J'étais la cause directe de leur mort. Quand j'entrais dans leur esprit, je réduisais leur cerveau en bouillie et les tuait. Cependant, je trouvais toujours une nouvelle famille pour m'accueillir au moment où je me retrouvais seule, comme si quelqu'un pourvoyait à mes besoins de tuteur.
Du moins elle y pourvoyait jusqu'à ce qu'une plantureuse femme vienne m'annoncer la terrible vérité. J'étais une succube, une croqueuse d'homme mais aussi de femme donc le but était de tenter et de faire sombrer les humains dans un enfer d'amour et de désir. La succube me raconta aussi que j'étais une erreur de la nature, j'étais né avec une tare génétique qui me mettait bien au delà de la succube habituelle. Elle me nomma Zahakash « Le papillon noir », celle qui apporte la mort. En fait, lorsque je pénétrais l'esprit de mes victimes, même sans vraiment le vouloir, j'envoyais un taux de bonheur et de bien être capable de détruire peu à peu le cerveau de ma victime. Le processus était long mais d'une implacable efficacité. La loi succube aurait voulu que je meurs car je tuais le bétail et je faisais bien trop remarquer notre race, mais ma mère avait décidé de me cacher et m'envoyait toute ces familles pour prendre soin de moi. Elle faisait son possible pour effacer les preuves de mon passage ... du moins jusqu'à que la succube qui se trouvait devant moi ne l'arrête.
Celle ci s'appelait Trisia, j'avais à peine 15 ans mais je voyais très bien que je la dégoutais. Pour elle, j'étais une abomination qu'il fallait détruire, par tout les moyens. Et aujourd'hui ce moyen était la confrontation face à face. Je n'avais aucune chance contre elle, je me suis donc mis à fuir, elle et ses acolytes. C'est ce jour où j'ai entendu le cri d'une succube enragée. Alors que je courais pour sauver ma vie, le cri de ma mère retentit dans les ténèbres avant qu'elle ne fonde sur Trisia. Je ne l'ai alors jamais plus revue mais je me souviendrais de son regard quand elle croisa mon regard, au milieu de la mêlée. Des yeux aux iris rouge, comme les miennes, mais rempli d'un amour différent de celui que j'avais déjà connu. Un amour sincère, sans usage de la magie, l'amour d'une mère pour sa fille. Craignant que ma mère ne puisse tuer Trisia, j'ai fuis. Grace à la soeur supérieure de l'orphelinat, je falsifiai toutes les données me concernant pour aller étudier en pension.
Lors de cette pension, je m'isolai presque des autres élèves et décider de m'enfermer dans mes études. Je commençais à maitriser mon dont d'intrusion mentale mais il restait encore trop dangereux et il pouvait arriver que je l'utilise sans le vouloir. Étonnamment, cette période de ma vie fut l'une des plus heureuse de ma vie. J'avais un véritable don pour les études et bien sûr une envie de m'accomplir sans utiliser mes pouvoirs. Vivre totalement isoler des autres élèves ne fut pas facile pour autant. Mes attributs génétiques faisaient fantasmer plus d'un adolescent et les filles voulaient toutes me ressembler et me demandait des conseils de beauté alors que je faisais attention de ne pas utiliser d'artifice (je n'en avais pas vraiment besoin). Mais après un lycée dont je sortais avec mention, je décidai de me lancer dans la médecine. J'avais bon espoir de trouver un moyen de guérir ma particularité, ou au moins la rendre plus vivable.
C'est là que j'ai découvert la Faculté de Heaven. De nombreux cursus semblaient se spécialisé dans la biologique occulte. Je ne pouvais pas manquer cette offre. Etant major de ma promo au lycée, les portes de la faculté s'ouvrit presque sans que je ne le demande. Au coté d'autre scientifiques, j'appris à guérir et étudier mes congénères et d'autres espèces. Là encore, je m'étais enfermé dans ma bulle d'étude, mais je devenais plus sociable car ceux qui me cotoyaient étaient moins sensibles que les humains et risquaient moins de mourir dans d'atroce souffrances. C'était un paradis, la maitrise de mon pouvoir se développait (même s'il était toujours instable).
Mais ce paradis s'effondra quand les affrontements transformèrent la ville de statut de ville tranquille à zone sinistrée par la guerre. Je ne savais pas pourquoi l'un ou l'autre camps se battait mais une chose était sûre, j'avais bien trop trimé pour trouver cette ville, pas question de la laisser se faire détruire. C'est alors que j'ai décidé de monter, avec quelques amis, eux aussi attaché à Heaven, un hopital de campagne, une zone neutre pour ceux qui voulait fuir ou se reposer. Les deux autres camps, respectaient mon hopital, jusqu'à ce qu'un membre de l'Ombre, demande asile.
Il se nommait Eric et était grièvement blessé. Le serment d'Hippocrate que j'avais prononcé me poussait à le sauver, de toutes facons neutralité signifiait de ne jamais faire de distinctions entre les factions. J'avais à peine stabilisé le blessé, passant 2 heures à l'opérer, quand une équipe de la Résistance pénétra dans l'hopital et demanda à ce que je leur livre le membre de l'Ombre. Ces idiots voulaient que je m'implique dans leur camp en essayant de me convaincre que leur combat était plus juste mais c'était mal me connaître. Je leur ai dit que tant qu'ils n'étaient pas blessés ils devront libérer les lieux. C'est à ce moment là qu'ils ont voulu me menacer. La situation se serait calmé si l'Ombre n'était pas arrivé aussi pour la transformer en un braquage à la mexicaine. La clinique était paralysé, les membres de la Resistance à l'intérieur menaçant l'Ombre de tuer tout mes patients s'ils entraient. Ces malades avaient signé leur arrêté de mort.
Ils ne se méfiaient pas des succubes, n'imaginant pas une scientifique capable de faire se prosterner les esprits faibles. Chaque fois que je croisais leur regard, je relachait toute la puissance possible dans leur esprit. Ce qui leur provoquait des migraines atroces. Faisant l'innocente, je leur ai proposer quelques médicaments qui finirent pas émousser leur sens et leur défense mentale. J'avais libre accès à leur esprit. Cet esprit, je leur ai broyé, jusqu'à ce que le sang sorte de leurs oreilles. Pour les calmer définitivement, je leur ai envoyé un petit coup de toxine paralysante, on ne sait jamais ce qu'une personne au cerveau tout retourné peu faire. Une fois totalement inoffensifs, je les ai soigné, je suis médecin avant tout et puis mon hopital ne pouvait souffrir d'une mauvaise réputation. Lorsque l'Ombre entra, je leur ai signifié les règles de la maison qu'ils ont complètement compris graces à l'exemple que montrait les hommes de la Resistance.
Quelques semaines plus tard, la Resistance crut que j'étais un de leur ennemi, leurs agents n'avaient surement pas apprécié mes soins. De ce fait, j'ai été forcé de rejoindre les rang de l'Ombre. Leur chef, qui avait apprécié le fait d'avoir protégé l'un des leur, m'accepta à bras ouverts. Jusqu'à la fin du conflit, je devins l'un des scientifiques l'Ombre mais les labos m'ennuyait alors, j'ai proposé mes services en tant qu'observateur scientifique. Il faut dire que le travail en extérieur est plus à mon goût. Les laboratoires sont tellement ennuyeux.
Caractère: Malgré un certains talent pour les relations sociales inné, Lys n'aime pas trop se mêler à la foule. Elle aime l'anonymat qu'elle procure. D'un naturel doué pour la médecine, elle a juré d'aider ses semblables et ne tue qu'en dernier recours. N'ayant eu que peu de période où elle a pu étuder les critères sociaux du langages, elle utilise souvent des termes certes savant mais toujours clairs pour parler avec les autres. Préférant tout de même la solitude (ou du moins les missions à effectifs réduits) elle n'en est pas moins affectueuses avec ses contemporains, même si elle maintient une sorte de distance de sécurité avec eux (de peur de les blessés). Malgré un pouvoir d'une mortalité certaines, elle rechigne à l'utiliser à des fins meurtrière sauf en cas de derniers recours. Son mot d'ordre : l'intelligence c'est sortir d'une situation sans le moindre mort d'un coté comme de l'autre.
Apparence physique: Du haut de son mètre 70, Lys affiche une simplicité particulière. Elle a de magnifique longs cheveux noir qu'elle attache dans son dos. Ses yeux ont des iris rouges sang qui semblent s'illuminer quand elle fatigue. Son corps a toujours était très bien proportionné, héritage génétique oblige, mais sa beauté est totalement naturelle. Elle ne semble pas faite pour le combat et préfère jouer sur la surprise et la rapidité que sur sa puissance musculaire, de toutes facon elle n'en a pas beaucoup. Elle exècre le maquillage et n'a d'attrait que pour ses tatouages discrets. Quand elle s'habille au gré de ses missions mais la plupart du temps. Quand elle passe sous sa forme originelle, elle arrive à déployer deux ailes de cuir noir ainsi que deux petites cornes noires qui dépassent à peine de sa chevelure.
..:Préférences:..
Ce que votre perso aime: La musique Rock, bosser en extérieur, observer ses expériences d'assez près pour être objective
Ce que votre perso n’aime pas: Qu'on la prenne pour des nichons qui parle. travailler en labo, travailler dans un labo avec des homme en manque d'amour
Lien familiaux:Animal possédé:But: Mettre fin aux combats entre Resistance et Ombre
Autres renseignements:..:Renseignements complémentaires:..
Comment avez-vous découvert le forum?: Votre niveau en RPG?: Bon ... du moins j'espère
Rang souhaité: Médic
Quelle est la mascotte du forum?: vu par Ayu