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 Kaoru Van Meadör

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MessageSujet: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeDim 18 Nov 2007 - 12:15

* Nom: Van Meadör
* *prénom: Kaoru
* *Age: 22 ans
* *Sexe: Féminin
* *Genre: Humain
* *alignement: euh disons Méchant
* Métier exercé: ASSASSIN
* *Arrivée à heaven: Nouveau



* * Armes: 2 éventails (relié) et une épée
* * Pouvoirs:
-Revitalisation
-Shikai no seishin’
-Libération de l’âme céleste
* *Point fort et point faible: Points forts: les âmes et le feu, points faibles: L'eau et le vent


* *Histoire(10lignes complètes minimum): a poster ensuite
* *Caractère(5 lignes complètes minimum): pareil
* *Physique (2 lignes complètes minimum, pas de "voir avatar"): pareil



* *Ce que votre perso aime:
Kaoru n'aime que deux choses son animal , car grâce a lui, elle a pu revivre. Et l'autre chose est bien plus complexe, tout réside dans un seul et unique fait, dans une situation des plus normale sans vraiment l'être. C'est une chose que tout le monde possède sans vraiment sans rendre compte, car tout le monde le sait sans le savoir comme quand on connait un voisin. Cette chose est informe tout en ayant une forme assez formel. Cette chose est la chose la plus importante de ce monde, de cet univers si impure. C'est tout simplement le fait que la complexité est la source de tout et par conséquent le fait que ce soit justement la complexité qui lui plait
* *Ce que votre perso n'aime pas:
Ce qu'elle n'aime pas est plus simple et facile a expliquer, elle n'aime ni les fourbes ni tout ceux qui se croient supérieurs. Mais ce qu'elle déteste par dessus tout c'est quand les gens abandonnent tout de suite le combat qu'est la vie , et qu'il se désiste, mais ce qui est assez bizarre car elle pousse généralement au suicide lors des combats. Mais pour elle c'est différent car c'est lors d'un combat mais lorsque la vie deviens complexe et que les gens se suicide a cause de cela elle déteste, car c'est comme abandonner un rêve celui de devenir un jour quelqu'un...
* Liens familiaux(facultatif): Aucun
* Animal possédé (facultatif):
~~~~~~






*Comment avez vous découvert le forum: par hazard

*Votre niveau en RPG: Bon voir Exellent


Dernière édition par le Dim 2 Déc 2007 - 10:48, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 17:40

Kaoru Van Meadör

Le commencement

Le 26 Septembre 1498

« Ca y est tout est arrivé. Elle est revenue dans mes pensées, dans mes gestes... Moi qui pensais que tout s’arrêterait et bien non, tout recommence, encore et toujours. Elle est là omniprésente dans toutes mes nuits, toutes mes pensées, et je ne cesse, malgré tout le mal qu’elle cause, d’être fasciné par sa beauté. Mais maintenant tout est fini. La vie, la mort, plus rien n’a d’importance. Pourtant, elle en avait à mes yeux, elle est son insatiable envie de liberté. Voilà, je ne sais pas, je ne sais plus. Leurs savoirs sont partis, leurs espoirs aussi, ces preux mages à qui jadis nous eûmes confié nos vies. Mais elle, elle est ici encore et toujours, attendant le moment fatidique, le moment dans lequel tout le monde baissera sa garde. Mais moi, je ne la baisserais pas, malgré sa beauté, malgré ses facultés je resterais là, et je lui ferais face. Enfin je ne pense plus à rien est-ce de l’amour ? Je ne sais pas, est-ce de la peur ? Je sais que cela est loin de là. Je songe à l’avenir, et si elle n’arrivait jamais, si la guerre qu’elle avait amenée disparaissait, et si elle aussi disparaissait… Je me demande ce que serait le monde. Serait-ce sa fin ? Je le pense, serait-ce le début d’un autre ? Sûrement mais ce serait surtout ma fin. Si elle meurt, elle m’emportera avec elle dans les abysses les plus profondes et les plus froides de ces enfers. Ce monde sera chaotique, ça je le pense. Mais je pense aussi que la haine qu’elle éprouve est due en réalité, à un amour brisé. Serait-ce de ma faute ? Je ne sais, peut-être de la faute d’un autre ? On ne saura jamais, et personne ne lui demandera, enfin cela n’aura lieu que si elle reste en vie. De toutes les manières, moi je ne saurais jamais.
Ce sont ici mes dernières lignes, car je le sais, je le sens ma fin approche. Sa douce et âcre odeur m’enivre, je me sens comme entrainé comme pris au dépourvu, ne pouvant lutter. Enfin, Là voilà elle est là, la jeune et douce odeur âcre de la mort.
Adieu... »
Ce fut ses derniers mots, et son petit livret, quand à lui fut tacheté de sang. Il était là, enfin son corps l’était mais son âme était partit, elle aussi était là, elle venait de mourir. Avant de mourir, il lui avait planté une épée, oh pas une grosse, juste une qui était assez grande pour qu’elle puisse supprimer à jamais les péchés de cette traitresse. Il l’avait regardé, certes sans son âme mais il l’avait regardé mourir, se vider de tout son être et bien sur, il avait les yeux vides, sans âme… C’était finit pour les deux, il l’avait dit, qu’elle l’emmènerait avec elle, comme si leurs destins étaient lié… Chose assez bizarre mais tout pouvait se passer dans ce monde.

Le 29 Septembre 1498

«Nous l’avons retrouvé, il était étendu au coté d’une femme... C’est étrange j’ai comme la sensation que quelque chose approche de moi, comme si cette chose était loin mais proche. C’est forcément le dégout de toute cette horreur, cela faisait 3 jours qu’ils étaient enfermés. L’odeur était telle que même un homme atteint d’une malformation au niveau de l’odorat, enfin cet individu qui ne peut sentir les odeurs l’aurait sentit, c’était infâme, comme une odeur âcre qui vous donne la nausée et qui vous fait remonter votre cœur… Cela semble si probable, cela résonnait comme l’odeur de la mort. La même odeur que je commence à sentir. Cette sensation, je la reconnais, mais comment, c’est celle de la mort, comme si une vague d’air gelé vous arrachait les entrailles et qu’elle vous glaçait le sang. Ainsi, c’est bien Elle, sa sensation. Oui, c’est sur c’est bien elle. Elle me gèle le sang, et m’arrache mes entrailles, cela est tel qu’un simple mouvement de ma plume sur ce papier jaunâtre me fais trembler dans tous les moindres endroits de mon pauvre corps pétrifié par le froid.
Je le sens, elle va m’emmener avec elle, je ne sais pas quand, mais elle va le faire. Serait-ce de la peur que je ressens ? Oui je le pense et je l’avoue. Serait-ce de l’angoisse ? Je ne pense pas ressentir cela mais la peur se fait si grande et si puissante que je n’arrive même plus à penser. Elle est omniprésente dans mon esprit, dans mes gestes, comment cela peut être possible, la vision de la mort m’envahit, je me sens comme pris au piège comme un vulgaire animal que l’on traque sans trop savoir où il est. Ca y est, la voilà, elle arrive. Mes derniers mots sont là, sur cette feuille de couleur jaunâtre… Son odeur me prend, La peur me saisit, Adieu mes amis je vous reverrais peut-être si elle aussi un jour elle vous prend...
Adieu, et au revoir ma chère Ai...»

La revoilà, le même rituelle, une page jaunâtre tâchée par la couleur écarlate du sang. Tout recommençait, encore et toujours, une victime, puis une autre et encore une, nous n’eûmes pu compter le nombre qu’elle avait fait. Malgré sa douce et jeune odeur. Elle frappait sais prévenir, elle arrivait sans alerter mais quand elle tenait sa victime, plus rien ne pouvait la sauver. Tout était là, un intervalle de trois jours et une autre victime, à ses cotés, une page d’un petit livret, encore une page jaunâtre tachée par le sang…
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 17:42

Le 2 Octobre 1498

« Encore une victime, la seconde je pense, enfin, et deux fois, oui deux fois, nous eûmes retrouvé cette petite page jaunâtre tachée de sang. Serait-ce une marque de l’assassin ? Je ne pense pas, peut être que mon tour va venir, peut-être pas, enfin. J’ai trouvé ce carnet près du corps, il m’a comme envouté. Maintenant j’écris, il est formidable, c’est comme si toute mes idées étaient claire et que mon écriture semblait être celle d’un poète. Je ne sais pas si cela est dut au carnet ou bien à mon don pour l’écriture.
Je sens une odeur, oh non pas une grande odeur juste une petite, une douce mais âcre odeur, dans les deux pages il y avait marqué qu’il sentait tout les deux une odeur douce mais âcre. Je suis assis, certes, mais qu’est ce que cela à avoir avec mes écrits, je ne sais, et je ne cherche pas. Elle devient omniprésente, oui je vois une scène comme cela de ma propre mort. Comment est-ce possible ? Je ne sais pas. Eprouverais-je de la peur en sentant cette odeur ? Je pense que cela n’est pas ce sentiment que je ressens en ce moment. Enfin, ça y est elle me contrôle presque, mes gestes sont plus lents, je ne peux me contrôler mon esprit est comme en train de partir. Cette odeur, elle est comme celle de la mort. Non impossible, comment, comment peut elle me prendre, elle me pétrifie, mes jambes, mes jambes ne m’obéissent plus. L’odeur est de plus en plus vive, elle me prend, me saisie, et m’enlève la moindre pensée positive. Elle lit en moi comme dans un livre, ça y est je sais, je sens et je suis près. Tout doucement, elle me prend, mon regard se fait noir, je ne respire plus. Elle m’a pris cette traitresse, l’infâme traitre qui jadis nous eûmes aidé. Ah la voilà l’odeur douce et âcre de la mort ! Oui, je la sens et la vie je ne sens plus rien, si juste un vent froid très froid m’envahir… Je crois que c’est l’heure, je vais te retrouver, toi l’enfant à qui jadis j’ai volé l’innocence et la pureté…
Adieu, monde infâme et obscure… »


Le 5 Octobre 1499

« Une victime, de moins, ou une victime de plus, nous n’eûmes plus jamais de nouveau mort, quand au carnet, on ne sut jamais où il était. Juste trois page jaunâtre tâchée de sang. Pourtant je le sais, il y a quelque part une personne en possession de ce carnet, et si jamais elle écrit une chose dedans, l’hantise recommencera.
L’hiver approche, elle est et restera présente, je raconte juste son histoire comme un prêtre raconte celle de Dieu. Qui je suis ? Je ne sais pas, qui elle est ? Ca je le garde pour moi, elle est belle, mais sinistre, grande et puissante, et celle qui la possède a de la chance. Tant de gens la veule, qu’il est impossible de la voir. Maintenant c’est à mon tour d’écrire dans cette petite page jaunâtre. Mon tour aussi va venir, comme il est venu pour les autres. Je dois m’y résigner malgré toute ces morts, je pense et cela sincèrement qu’elle n’est qu’une illusion. Elle nous amène sûrement vers un monde plus doux et plus beau que celui ou nous vivons. Enfin tout cela, comme si ce cahier enfin ses pages jaunâtres étaient maudites. A chaque fois c’est la même chose, on prend le puis on meurt, personne ne se souvient plus de vous seul les gens qui vous on découvert, enfin après les gens meurent. Cela semble si fantaisiste mais si réaliste à la fois. Voilà, je pense avoir dis ce que je pensais de tout cela. Elle ne va pas tarder, je dois juste finir mes mots, je ne tremble pas, je lui fais face, elle n’a cas m’emporter cette lâche. Elle tue pour se venger mais de quoi et de qui, je n’ai jamais connu d’affaire pareil. Je suis son Dieu et elle est ma Déesse, mais elle me contrôle, je sais qu’elle n’est pas loin, elle guète mes moindres gestes, mes moindres paroles. Enfin, c’est finis je clos cette page, elle est là elle me prend l’épaule...
Izumi, ma chère Izumi est venue me prendre. Sa couleur argenté je la sens contre moi, sa beauté je la vois. Je vous souhaite de la rencontrer un jour, mais de ne jamais croiser sa couleur. Adieu et bonne chance pour la fin du monde... »

Il était maintenant sa victime. Il partit, et l’amour qui lui portait aussi. Pour lui tout était fini. Mais le reste des personnes pour vivantes ?
Un éclair puis l’orage, la pluie commença à tomber sur le beau paysage. C’était l’automne.
Il y avait une ombre elle tenait comme une épée, oui c’était une épée. Elle était grande, fine et majestueuse, c’était Elle. C’était bien Inuzukima, l’épée mère, l’épée qui dans le passé avait permis a beaucoup de monde de contrôler la force d’Akamhizu. Enfin tout était finis, elle allait partir cela se voyait dans son regard. Elle l’avait tué donc elle partait. Un sinistre silence trahissait les pensées des personnes du village. Tous étaient réunis pour enterrer le défunt. La pluie était battante, tous vêtus de noir. Ils attendaient là comme si une récompense allait leur être remit pour être venu. Ils sont si stupides. La nuit tomba, son manteau argenté aussi, mais des nuages les cachèrent. Ainsi finit le mois d’Octobre de l’année 1499.



Le 23 Septembre…

« L’été est passé, c’est un pas de plus vers ma liberté. Je viens de trouver ce livret il est ancien, une centaine d’année, rouge comme le sang, c’est assez rare de nos jours. J’ai trouvé 4 pages de journal dedans, datant de 1498 et de 1499 ça fait un bail qu’il existe, Aiko et Shiizu vont être jalouses enfin, ah oui je me présente, Kaoru j’ai 16 ans, mon passe temps le combat, et oui mon cher journal tu seras mon confident. Je crois ouai je viens de trouver une épée, la classe, toute argenté, avec un ‘‘Manche ’’ doré. Enfin bref, une de mes ancêtres étaient assez doué à l’épée. J’ai hérité de son don enfin je suis assez fière de moi. Enfin voilà le moment tant attendu, je vais aller en forêt m’entrainer, j’ai trouvé ma nouvelle arme je vais tester sa force et sa précision. Elle ressemble un peu à l’épée de mon ancêtre enfin je dois sûrement avoir tord car la force de l’épée de mon ancêtre dépasser le raisonnement humain… J’écrirais la suite après ou sur une nouvelle page. Bon je l’écrirais sur une autre page.
Je vais avec l’espoir dans l’âme m’entraîner à l’épée céleste que m’a donnée le destin. Ainsi voilà les derniers mots sur cette petite page de la future légende de l’assassinat. Je compte bien me faire connaître malgré les choses que j’ai faites par le passé. L’argent, l’amour, la passion tout cela n’est rien s’il n’y a pas une personne qui empêche de les avoir. »
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 17:56

La jeune femme était si belle, ses cheveux étaient noirs long elle était magnifique son style assez noble. Quand a ses yeux il était d’un bleu inouïe. Elle partit, l’épée dans le dos, telle une guerrière des temps modernes. Kaoru, était une jeune fille remarquable, tant dans son travail que dans la vie active, elle était certes assassin mais elle était gentille, elle était même adorable. Mais elle avait son caractère, et il ne fallait surtout pas dépasser les ‘‘bornes’’. Elle était assez compliquée, elle était calculatrice oui très calculatrice. Elle avait toujours un plan pour pouvoir se tiré d’affaire, à croire qu’elle savait ce qui allait se passer. Elle descendit de sa monture étant arriver devant la forêt. Elle s’entraîna, même si en la regardant elle ne faisait qu’un avec son épée. Elle la maniait comme si elle l’avait toujours fait. Comme si depuis toujours elle l’avait à ses cotés. L’épée se nommait Inuzukima, elle était habitée par un esprit, un esprit pas comme les autres… La jeune Kaoru la mit pointe vers le ciel puis ferma les yeux et joignit ses deux mains. D’un seul coup, et comme si elle connaissait cette technique depuis toujours, un flash de lumière enfin non plutôt un éclair frappa l’épée. La jeune femme commença à reculer face à cette monstrueuse puissance. Elle n’arrivait pas à contrôler toute cette puissance. Kaoru ouvrit les yeux elle n’était pas dans la forêt, elle était dans un lit, l’épée à ses coté. Un jeune homme poussa la porte, il sourie puis s’assit près d’elle.

-Ca y est tu t’es réveillée petite, je suis ravis. Oh excuse moi je me présente Van Meadör, je suis qu’un modeste enfin un mercenaire dis moi quel est ton nom jeune fille

-D’où vous m’enlevez de mon entraînement non mais vous n’êtes pas bien… Où est mon épée ? Et puis qu’est ce que ça peut vous faire comment je me nomme je ne vous connais pas …

-Oh Jeune fille du calme, et je ne te permets pas de dire cela. Réponds juste à ma question Quel est ton nom ?

-Kaoru Izumi, et maintenant répondez aux miennes.

-Bien, Alors Kaoru ton épée est au pied de ton lit, et si je t’ai enlevée de cette forêt c’est que tu étais gravement blessée, alors j’attends des excuses de ta part.

-Jamaiiiis, maintenant laisse moi partir l’avorton

-AVORTON ?? Tu me traites d’avorton non mais tu te calmes. Sans moi tu serais morte. Sale morveuse, je te jure que si jamais tu oses m’insulter encore une fois je ne te raterais pas. Ai-je été assez clair ?

Le regard du jeune homme devint noir puis il se leva et partit, il monta dans une pièce. Kaoru qui s’en voulait un peu de sa réaction le suivit enfin avec beaucoup de distance. Elle entrouvrit la petite porte puis elle vit le jeune homme allongeait sur le ventre lisant un livre. Elle souffla puis prit son courage à deux mains, et toqua à la porte…


-Je peux entrer ?

-Oui mais si tu veux me présenter tes excuses sinon parts de cette maison.

-Bien alors je m’excuse de vous avoir fait du mal

-Excuse accepter, aller rentre Kaoru

La jeune fille s’exécuta, elle rentra puis s’assit au coté du jeune homme. Il commençait à se faire tard, les parents de Kaoru allaient s’inquiéter. Mais à quoi bon partir, elle ne savait même pas où elle était. Elle passerait donc la nuit ici…
La nuit était maintenant bien tombée. Le jeune homme l’avait amenée sur une colline non loin de là. Comme elle était endormit, il l’adossa contre un arbre, la nuit était magnifique, les étoiles scintillaient même plus que le soleil ne le peut. Mais le regard du jeune homme était tourné vers une autre étoile… Il l’a regardé avec désir, comme si cette étoile était la seule qui exister devant ses yeux.
L’étoile se réveilla, la couleur de ses yeux sortait encore plus dans la nuit. Il la regardait encore et toujours, et toujours de la même manière. La jeune fille regarda autour d’elle. Elle avait peur, et ne savait où elle se trouvait. Elle se leva, la main du jeune homme attrapa celle de la jeune femme, il la tira vers lui, dans ses bras, et l’embrassa. Elle resta sans rien faire, le regardant et se serrant contre lui. Elle ne luttait plus, elle ne luttait pas. Un vent glaciale se leva, les deux protagonistes s’enlacèrent mais pas pour longtemps. L’odeur revint, plus forte que les autre fois. La jeune femme se leva, et commença à courir, comme si elle savait exactement ce qui se passer. Elle se retourna, le jeune homme, il était resté là bas, l’odeur c’était celle de la mort, elle devait faire demi tour, mais si, si c’était elle que la mort venait chercher, elle devait l’affronter mais avant elle devait prendre son épée, donc retourner là bas. Elle fit donc demi-tour puis fonça en ligne droite. Du brouillard, il y avait beaucoup de brouillard, elle le chercher désespérément criant son nom. Elle trébucha sur une masse, c’était lui, il était allongé par terre. On aurait dit qu’il était mort, non il respirait, il dormait, ou il était inconscient. Elle s’approcha le mit sur son dos et pris son épée, elle commença à courir mais avec le poids du corps, elle trébucha et tomba à terre… C’était trop lourds pour elle, elle n’avait que 16 ans elle ne pouvait pas supporter et le poids de l’épée et celui du jeune homme. Elle se redressa tant bien que mal à l’aide de l’épée, mais elle était à bout de force. Elle retomba à terre. La jeune femme se réveilla, et vit le jeune homme couché, il avait du sang qui coulait. Impossible, l’épée, elle était enfoncée dans l’estomac de Van Meadör… La jeune femme eue le réflex d’enlever l’épée de l’estomac puis commença les soins, du tissu, de l’eau et des feuilles. Elle commença par nettoyer la plaie, puis à l’aide des feuilles qu’elle avait préalablement mâché elle l’est mis sur la plaie, elle se concentrait, la technique que lui avait apprise sa mère pour soigner les blessures, elle devait la réciter…

-Shikai no seishin’

La jeune femme tomba par terre, la blessure commençait à peine à cicatriser, le jeune homme reprit connaissance, la jeune femme, par terre mais le sourire aux lèvres, elle avait réussit enfin, malgré la douleur dût aux force de la technique. Du sang commença à couler de son abdomen, elle savait que cela pouvais être violent mais pas à se point. Le jeune homme se leva malgré le mal, il mit Kaoru sur son dos puis commença à marcher, il devait absolument l’amener chez un médecin.
Cela faisait 1 heure, elle était presque morte, ils arrivèrent devant un médecin, un alchimiste, elle avait perdu beaucoup de sang, et lui était aussi mal en point. Il l’a recousu puis il soigna le jeune homme. La jeune femme se redressa tant bien que mal, malgré la fatigue. Cela faisait deux jours qu’elle dormait. Elle se redressa, et vit le jeune homme assit près d’elle, mais endormit…
Elle s’assit sur le lit, puis commença à descendre, la porte s’entrouvrit…


-Vous ne devriez pas descendre Demoiselle, restez donc vous reposez

-Impossible, je dois retrouver mes parents enfin voilà, laissez moi partir

-Et lui j’en fais quoi ?

-Gardez le avec vous, et dîtes lui que je suis retournée chez moi

Le jeune homme se réveilla et vit partir la jeune fille, il se rendormit et se réveilla une dizaine d’heure après…


-Où, où est Kaoru

-Vous voulez parler de la jeune femme, elle est partie chez elle.

-Je dois la rattraper

-Non restez là, elle m’a dit que vous deviez rester avec moi

-Je vous en supplie laissez moi y aller

-Impossible je vous dis…

Le jeune homme regarda l’alchimiste, puis le poussa contre le mur, il agrippa son manteau et partit en courant. La blessure lui faisait encore mal mais pas autant qu’avant. Il retrouva son chemin. Il retrouva la colline puis fit le chemin jusque chez lui, puis retrouva la petite forêt. Il traversa la forêt, tomba a terre plusieurs fois, mais toujours il se releva. Une maison, un village, laquelle était celle de Kaoru… Des visages des centaines de visages, la pluparts inconnu tous même. Mais peut importait, il scrutait toujours, Kaoru son visage, il se releva puis commença à courir. Vers elle, vers sa beauté, elle se retourna, puis sourie, un homme, lui prit la main et la tira, il sortit une épée. Le choc fût fatal… Le père de Kaoru venait de le tuer, l’épée dans le cœur, il tomba à terre certes mais le sourire aux lèvres, il avait retrouvé sa promise avant de mourir… Elle poussa son père puis sortit l’épée du cœur de son promis… Un mouvement une parole et un mort… Elle rentra chez elle prit les deux éventails puis partit, sortit de la ville devant la forêt puis, planta l’épée devant elle, elle prit les deux éventails dans ses mains.

-Libération de l’âme céleste

Une masse noire, une âme, l’âme d’un Shinigami, l’âme du Shinigami, elle l’avait libérée et elle le contrôler, il était au dessus du village du vent, puis du feu, elle le contrôler elle le laissait faire les techniques qu’il voulait, le village, prenait feu, mais elle n’en prenait pas compte. Tout se qui comptait était son propre plaisir. Encore et toujours le même sourire. Elle regardait avec satisfaction le village brûler, l’odeur âcre. Pourquoi faisait-elle cela, le corps de son bien-aimé était encore dans le village, est-ce l’ardeur de leur amour ? Personne ne le savait mais en tout les cas personne ne se risquerait à lui demander.

Cela faisait maintenant un an qu’elle était partit, ayant pris le nom de son bien aimé pour nom de famille, elle continua sans relâche à se venger, choisissant ses victimes. Elle avait arrêté depuis deux mois et pour cause, elle était maintenant rechercher par un chasseur de prime, elle devait échappée à ses griffes et retrouver un peu de repos en même temps sans rester trop longtemps dans la même ville…

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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 17:58

Le jour de départ…


Bien sur tout n’était pas rose dans ce bas monde qu’était Ëstarigär. Les rues étaient parfois pleine de monde et souvent. Oh! Oui très souvent il n’y avait pas que de simple passant, des assassins, des nobles et même parfois des guerriers. Cela était très rare de les voir car l’entrée de la ville était très surveillée plus que le palais en lui-même. Seules quelques personnes avaient le droit d’entrée dans la tour d’Exara. C’était surtout sur invitation que les personnes pouvaient entrer. La raison était gardée, mais La Raison on la savait. Le pourquoi du pourquoi non mais la Raison oui. Tout le monde le savait sans que personne ne le sache. Tout le monde le sentait sans que personne ne le sente. Personne ne l’espérait mais tout le monde espérait. L’odeur sans odeur était omniprésente, le risque que les gens couraient n’était plus mais leur peur était tout comme l’odeur encore présente. La pluie vint le beau temps partit, l’amour aussi. Tout comme chaque matin ils se levèrent, tout comme chaque soir ils se couchèrent. Ainsi était la routine de ceux qu’on appelait Personne, ainsi était la vie de ceux qui était ici. Tout le monde savait mais personne ne s’en apercevait. On la suivait, puis la perdait de vue, puis on la retrouvait, et la reperdait. Ainsi et oui, ainsi était la vie de chaque personne. Faite de raison et de folie, de passion et d’envie, d’amour et de haine autant que la vie aime la mort et que la mort haie la vie. Tout cela ne résume qu’une partie de sa vie, la jeune et jolie, L’Insaisissable et Adorable, l’amertume même était loin de sa vertu. L’envie qui la saisissait était ici, l’amour qu’elle avait perdu n’était que poussière. La seule chose qui restait encore debout c’était Elle. L’Immatérielle, l’Imperturbable, l’Invraisemblable, la Mystérieuse, la Belle, la Douce, la Divine tout ces mots était presque imparfait pour la perfection qu’elle incarnait. Elle était ce qu’elle n’avait jamais était. Tous les mots que l’on pouvait lui adresser ne servait qu’à embellir sa beauté. Tout cela ne rime plus à rien si elle ne dit plus rien, son odeur était la, la leur aussi, mais celle qui avait triomphé était une odeur que seule la Mort connaissait.

Le soir était plein d’étoile, les larmes de la jeune femme, brillait plus qu’une lame. Tout en avançant elle était, et restait ici et là, vagabondant comme une lettre entre les mains des gens d’un simple et tout petit minuscule village. L’amour, la haine plus rien n’a d’importance tant qu’elle et sa beauté sont gâchées par des larmes d’amertume sans âme. La beauté de cette Femme était comme une fleur qui s’épanouissait au soleil, plus la lumière était plus ses couleurs étaient. Mais cela commençait à faner, car depuis l’annonce que lui avait faite, elle ne pensait qu’à une seule chose s’excuser. Elle lui avait fait mal mais pire encore cela l’avait blessé dans l’âme. Cela lui était insurmontable, il lui avait dit, ce qu’il pensait, mais elle, elle s’était tu. Sans rien dire elle avait continuer, jusqu’à ce jour, ou elle le su, depuis elle s’en voulait, elle s’en voulait de ne pas pouvoir changer d’avis, mais qu’est ce qu’elle perdrait a changer d’avis, peut être tout peut être rien, c’ était cela qui lui faisait peur, de ne rien savoir cela l’effrayait. Mais le pire pour elle s’était de savoir qu’il était triste… Elle s’en voulait même avant qu’on lui dise mais moins qu’après qu’on lui ait dis. Voilà pour elle un sens de sa vie, la tournure des évènements qu’elle redoutait était arrivée. Tout cela à cause d’un simple « Je t’aime » cela lui paraissait invraisemblable. Elle pensait a une simple solution mais cela était impossible… Comment l’annoncée, tant pis elle le ferait après… Elle venait de s’en rendre compte de ce qu’elle voulait mais elle voulait en être sur… Tout ce qu’elle voulait c’était redevenir comme avant une simple jeune femme, pas ce qu’elle était maintenant… L’amour l’avait fait changer, mais lui avait apporté aussi plein de malheurs. Elle était l’une de ces femmes qui sans le faire exprès s’attirait toujours plein d’ennuis lorsque leur cœur était pris. Sans doute un caprice des Gens d’Haut. Mais pourquoi elle et surtout pourquoi cela. Elle qui ne voulait rien mise appart qu’on la laisse tranquille. De toute les manières cela ne s’arrêterais point ici. Elle aurait surement d’autres ennuis pas forcément par rapport à ses sentiments mais par rapport à ses fonctions. Elle disait toujours qu’elle pouvait se sortir de n’importe quelle situation mais la seule dont elle ne pouvait sortir c’était celle là. Elle ne trouvait aucune solution par rapport à son problème de cœur. Pourquoi on ne savait pas, mais à cause de qui çà tout le monde le savait. Un jeune et magnifique jeune homme la courtiser alors que son cœur était pris par un défunt. C’était horrible pour elle. Elle ne pouvait choisir, entre une promesse et une envie. Le jeune homme lui en voulait, cela se voyait quand elle lui demandait s’il allait bien il ne lui répondait jamais ou presque. La jeune femme s’en voulait encore et encore et encore… Elle ne dormait pas, et même comme à chaque fois qu’elle n’allait pas très bien, elle écrivait mais cette fois si les mots lui manquait. Elle sortit, dehors la pluie était battante… De nos jours cela est très rare, mais bon comme tout n’était pas très normale dans ce monde si tout pouvais passer. La pluie ne laissa jamais la place au soleil, elle laissa place a la nuit puis recommença de plus belle.
Les jours passaient, ils se ressemblaient certes mais une seule chose changeait entre chaque jour, la peine de Kaoru devenait de plus en plus grande.
La Raison de la raison était mystérieuse mais la raison mère tout le Monde la connaissait sans la connaître, comme on connaît le nom d’un plat sans cherché le pourquoi du comment et aussi sans regarder la nature, les composants,… Voilà comment on connaissait le Monde de nos jours, c’était certes très bien mais aussi nul qu’un assassin sans mission… L’heure de l’Heure avait sonné, le temps du Temps était fini, la vie de la Mort avait gagné mais le sens du Mot lui avait perdu… Tous ces mots sont certes à la suite mais le sens est inexact, le sens du sens est confus et l’âme d’une âme est nulle sans qu’elle soit nulle. L’amour sans amour c’est de l’Amour amoureux, la haine sans haine c’est de la Haine impropre, la lumière sans soleil c’est de la lumière sans en être… Tout se repoussait et prenait dans une dance si mélancolique que même le Saint des Saints ne saurait quoi faire. L’amour et la Haine s’aime, la Vie et la Mort se prennent, la Lumière et l’Obscurité s’éclairent, la Raison et la Folie se serrent. Telle est la Destiné de la Destiné. Sans nul doute vous souhaitez que l’on vous conte la suite, mais passons d’abord a se que l’on nomme Ensuite…
Kaoru était assise, sur un des bancs, elle regardait l’œil fuyant les gens passant et repassant devant elle. Elle était assez fière d’elle-même un peu trop parfois… Elle attendait ici et la comme le ferais n’importe quel passant… Elle ne connaissait aucune des villes de ce pays… Elle venait d’un autre pays, Mëandor était un pays très loin d’ici, et il était qu’une simple enfin que des îles. Cela lui avait pris assez longtemps pour venir, elle qui n’était habitué qu’à la cité moderne à ses yeux elle était retombée aux temps de son ancêtre.


*Ces villes sont si petite, je me demande si, je me demandais quoi déjà…*

Elle se leva puis partit, une forêt, un jeune homme, il ressemblait à Meadör… Cela oui ce visage ses traits si fin… Une jeune femme, dans ses bras, elle comprit non ce n’était en aucun cas Meadör. Un bruit, un éclair, oui la pluie allait tomber. La jeune femme commença à courir, puis Kaoru la suivie. Elle ne savait pourquoi mais cette jeune femme la captivé. Elle regarda, caché derrière un buisson de fleur, la jeune et jolie prétendante. Elle savait, elle commençait à sortir l’épée, son instinct d’assassin remontait… Du sang, ici, là, partout, sa couleur, Oui! Oh, oui tout le monde aimait cette couleur, écarlate, jolie. Tout comme les prunes, les pommes, et tous ces fruits… Nous aimons oh on ne pouvait plus, nos cœur s’emballaient de plaisir, l’écriture était dur, je n’en peux plus aider moi… Ces mots sortaient de la bouche de la jeune morte… Il ne restait que sa Chevelure… Blonde, avec quelques reflets dorés, elle envoûte cette chevelure, le ton calme, oui il revient, les cœurs se relâchent, de toute façon elle ne revint… La joie, elle se voyait… La joie, oui, la belle joie que de voir ce corps inanimé, ainsi, et oui, ainsi elle les aimait ces petites pestes. Voilà, la vraie vie, le vrai visage d’un doux ange… Est-ce un ange ? Oh! Vous vous trompez, est-ce un diable ? Je n’irais pas jusque là, mais elle est et restera la Femme dont tout le monde, un jour craindra. Elle ne voulait ni être chassé, ni être accepté comme un chef… Elle voulait et ne voulait pas. Je ne pense pas raconter toute son histoire et chaque combat, je pense juste faire de cette femme, la Femme que tout le monde craindra surtout par son nom…
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 18:04

L’incident de la Raison


C’était un soir comme un autre en apparence, mais pas pour Kaoru. Elle allait enfin connaître la joie que procure une cérémonie. Elle en était sur maintenant, elle allait être nommée comme Assassin. Son rêve était là, devant ses yeux, mais il était éphémère. La beauté de l’atmosphère était aussi une lourdeur infinie. Un bruit, comme des coups de poings dans une porte, tout le monde se retourna. Une, deux trois, quatre,… une dizaine non une centaine de personne à terre, tous dans un bain de sang. Il coulait, coulait, tel un fleuve, des méandres, des lignes droites, puis des méandres et encore des lignes droites. Kaoru s’assit, regardant le sang coulait vers elle. Elle souriait, leva la main, puis pris l’épée, elle se releva, il y avait encore beaucoup de monde, tous terrorisés par la vue de tous ce sang, elle se leva en chancelant, un sourire oui, un magnifique sourire, elle s’approchait. Un, puis deux puis trois puis quatre… Des dizaines et des dizaines de coups d’épée, du sang, des dizaines de litres de sang. Ce liquide rouge qui remplit notre cœur, qui enivre nos pensée qui nous fait danser, chanter jouer… Ce liquide qui nous ravis quand on le voit, ce liquide divin, ce liquide qui pour le moment était salit par d’affreuses personnes marchant dessus. Kaoru, son sourire disparaissait petit à petit, Ils avaient bâclé son travail… Le rouge était gâché. Tuer, il fallait tuer les parjures, ces traitres qui trahissait le sang, ces traitres qui le salissait. Ces sales vermines, ces parasites, ces bon à rien, ces nuls… Les mots manquaient ou ils étaient trop vulgaires pour être écrit. Mais tout ce que l’on pensait d’eux était juste. Ils ne servaient à rien si ce n’est qu’à pourrir le monde. Passons à la suite de l’histoire.
La jeune femme attendait, elle avait tué ceux qui l’avaient offensé. Les bâtiments étaient en feu, un cri, oui il en rester un en vie. Elle se retourna, son sourire était revenue, mais quel sourire, le même qu’à l’ instant où elle se leva et alla tuer les personnes. Il criait, cela se voyait à son cri, que la souffrance était grande. Mais Kaoru continua son chemin, la tête baissée…
D’un seul coup, des tâche de sang, un katana, du sang sur la lame d’un katana. Du sang, oui, mais celui de Kaoru. Elle était touchée en plein cœur, elle tomba en arrière. Elle ne put faire quoique ce soit. Elle n’eue le temps de se dégager, qu’elle était déjà touchée. Elle vit une lueur blanche, puis elle mourut. Personne n’aurait pu la sauvée, elle était touchée en plein cœur, même elle, elle ne l’avait vu venir.
C’est ainsi que finit la vie de Kaoru, enfin elle finit, oui elle finit par être une femme connue. Elle avait était connue pour être la plus belle femme d’Ëstarigär. C’était invraisemblable, comment avait-elle pu mourir, elle qui avait tué tant de gens, elle qui voulait être une légende de l’assassinat. Non elle n’était rien, rien de tout cela, elle était juste une belle femme, une magnifique jeune femme de 22 ans. C’était triste mais au moins elle avait accomplit une partie de son rêve, être connu.

Deux ans avait passé, Kaoru n’était plus ici, elle était morte maintenant, morte, elle était l’une de ces Fabuleuses et Magnifiques Mortes. L’une de ces femmes, qui avait toujours plein de choses à dire et qui disaient toujours ce qu’elle pensait. Nous décrivons beaucoup de ses combats, enfin ses combats, surtout de ses réactions, nous ne décrivons pas son passé, d’ailleurs revenons dessus, quand elle était petite…


L’enfance de la Morte.


Le 25 Juin

« Ma fille est née, elle se nomme Kaoru, elle est belle, mais si belle, cela me sidère. Elle a maintenant deux mois, c’est pour moi une grande réussite, j’espère que pour elle l’avenir sera doux et bon mais pour le moment, je ne pense pas pouvoir vivre assez longtemps pout la regarder grandir. Pourtant je le veux, je veux rester près d’elle, elle est si jolie. Cela me fend le cœur de l’abandonner comme ça si vite, mais je ne peux plus tenir non plus, cela seront sûrement mes dernières lignes. Comment cela peut arriver, c’est impossible, c’est immorale j’aime ma fille et on m’en prive, c’est impossible, je n’y crois pas non, je ne peux y croire. Pourtant cela m’arrive, oui cela m’arrive, je vais m’en aller loin de ma fille… Je pourrais la revoir que le jour elle me rejoindra, mais va-t-elle me rejoindre un jour, cela je ne le sais, je ne le sais point car je ne peux prévoir l’avenir, je ne le sais pas puis-ce-que je ne pourrais jamais la voir. Après il y aura le néant total…
Voila je ne peux écrire plus mes mains tremblent déjà, je ne peux m’arrêter, c’est plus fort que moi… »

Sa mère s’était levée vacillant, tenant à peine sur ses jambes. Elle regardait sa fille, dormant dans son berceau, avec ses draps d’enfant, entre le rose et le blanc, brodé de fleurs, qu’elle avait fait elle-même.
Elle tomba, essayant de se relever, elle n’y arrivait pas, elle regardait sa fille. Des larmes descendaient, elle s’écroula à terre, ses yeux se fermèrent petit à petit regardant, tout en partant, le berceau de sa fille.

Passa 5 ans, elle avait maintenant 5 ans donc, c’était son père qui s’était occupé d’elle, mais il s’était remarié avec une femme. Kaoru avait grandit dans la haine de cette femme. Elle ne l’aimait guère, car elle l’avait vu, oui, la femme l’avait vu jouer avec une âme, l’âme de son petit chien. Kaoru avait extraite l’âme du corps du chien puis elle avait joué avec, regardant le femme avec un sourire, elle ne savait pas ce que sa pouvait faire, elle ne savait même pas que c’était l’âme de quelqu’un enfin de quelque chose.
La femme lui mit une claque puis la leva en l’air, et elle voulut la lancer contre le mur, mais son père arriva à tant. Il la prit contre lui, puis la serra dans ses bras. Kaoru pleurait, elle n’avait jamais compris pourquoi la femme l’avait traité de la sorte. Elle regarda son père, les larmes aux yeux. Elle avait mal physiquement et surtout mentalement.
Sans que personne ne s’en aperçoivent un matin elle était partit. Son père s’en aperçut que lorsqu’il était midi. La jeune fille avait l’habitude de rester dans sa chambre le matin pour étudier, maintenant elle avait 10 ans, 5 ans était passé depuis l’incident avec le chien. Elle n’avait plus jamais utilisé son don avec les âmes.
En se promenant en ville, elle tomba devant une agence, il y avait une inscription « NCWAI » personne ne savait ce que cela voulait dire. Kaoru était assez curieuse de Nature, elle poussa la porte, un homme la prise par la main, l’emmena dans un bureau. Un homme en noir, la regarda. Il la regardait avec un sourire assez caché mais visible comme même. Elle s’assit, comme lui avait indiqué l’homme. Elle le regarda, il lui tendit un papier qu’elle lut avec attention.
Il était stipulé que si elle signait le papier, elle devenait officiellement un assassin. Elle prit un stylo, on ne sut jamais pourquoi elle avait accepté de devenir Assassin. Elle était jeune juste dix ans, et elle devenait un assassin.

Deux ans passèrent, cela faisait maintenant deux ans qu’elle était un assassin, sans que personne ne le sache. Son don était son arme, ainsi que deux éventails.
Ainsi fut son enfance dans ses grands traits… Nous ne poussons pas plus la description pour garder une part de mystère.

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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 18:08

Une parcelle de vérité...


Un puis deux, et trois non quatre et maintenant cinq années étaient passées. Kaoru était morte, on l’avait oublié, son rêve avait été effacé. Personne ne se souvenait de l’ange meurtrier, l’ange aux milles meurtres. Elle avait été oubliée comme tant d’autres, elle avait perdu tout sens comme des mots à la suite les uns des autres mais sans vraiment se suivre.
Elle fut l’une de ces nombreuses personnes à exister sans que personne ne fasse attention à leurs actes. Elle fut une femme ni comblée par son métier, ni malheureuse par ses activités. Sans y faire attention, elle avait pourtant laissé une trace de son existence. Cette trace, une seule personne la gardait en elle, elle ne pouvait pas en parler, ni en débattre. Dans un sens cela était normal ; mais dans un autre, cela semblait assez bizarre. Elle ne pensait ni à cette trace ni à ce qu’elle pouvait entrainer. Elle savait juste son présent ; ni son futur ni son passé ne l’importaient. Tout ce qu’elle voulait c’était une seule chose : que Kaoru revienne sans revenir. Il voulait qu’elle revienne mais pas dans ses pensées, dans ses gestes, dans sa vie. Sans revenir, elle devait revenir, sans respirer elle le devait. Elle devait faire des choses sans les faire.
Tout cela était assez complexe sans l’être réellement. La complexité est une chose que personne ne métrise, une chose qui dépasse l’entendement humain. Une chose qui, vous devriez le savoir, ne peut se comprendre sans l’avoir compris. La complexité est une chose complexe! Oh! Bien sur que non, la complexité est une science, une science simple qui se révèle être facile. La simplicité n’est pas chose facile, la complexité l’est sans l’être. Elle est l’une de ces rares sciences que personne ne pratique, bien que beaucoup de choses le soient. Certes le monde peut parfois s’avérait complexe mais l’est-il vraiment ? Personne ne peut répondre à cette question. Mais essayaient-ils ?
Kaoru aimait la complexité, et pourtant elle ne l’exposait jamais. Elle essayait toujours de le cacher, même si parfois, cela était dur. La simplicité, pour elle, était une chose pas si simple, alors que la complexité l’était. Enfin passons sur ses détails.
Kaoru était morte, pourtant il voulait qu’elle revienne, il la connaissait, il l’avait même aimé. Mais cela avait changé depuis un certain événement. Personne ne sut ce qui c’était vraiment passer. On sut juste qu’elle l’avait quitté sans raison, enfin quitter était un grand mot et surtout il n’avait pas vraiment de sens dans ce cas là. Enfin l’incident elle n’en n’avait jamais dit un mot, je n’en dirais rien non plus. C’était sa vie, non la notre, certes nous la racontons mais pensez bien que Personne ne peut demander d’autre chose sur elle. Tout ce qu’elle veut qu’on raconte est là, sur ces pages. Comme dans un livre, on tourne les pages et on trouve d’autre information sur elle. Bien entendu, beaucoup de chose vous sont dite sans que vous vous en aperceviez. Voilà, passons maintenant à un autre passage de sa vie. Maintenant elle allait revenir, elle allait revivre…
Mais avant de vous racontez ce passage je dois juste faire un petit paragraphe sur un moment précis de sa vie, un moment où, je pense, il s’est passé une chose que personne ne pense être primordiale mais qui en réalité l’est.

Le 29 Novembre

« Nous étions un samedi, si mes souvenirs sont bons. Oui, nous étions exactement le Samedi 15 Avril. Cela semble peu vous importez, mais lisez la suite et vous comprendrez. Il était dans les environs de minuit quand tout commença, d’abord un regard vers le ciel, la lune était brillante, comme toujours, on pouvait voir tout ses détails. Un nuage passa dessus, puis la lune revint, encore plus blanche, encore plus belle. Les étoiles maintenant, il y en avait des centaines même plutôt des milliers voir même des milliards. Enfin, passons au paysage terrestre, c’était sur une plaine je crois, oui j’en suis sûre maintenant, c’était dans un plaine. L’herbe était légèrement humide, mais verte. Une forêt se dessinait au loin, puis derrière, je me souviens exactement qu’il y avait un lac, la lune se reflétait dedans, elle était donc derrière nous. L’âme posée, nous regardâmes au loin comme si nous voulions voir l’horizon. Kaoru était à ma droite, ah elle était splendide, un visage angélique, des traits fin, et un air toujours joyeux avec son large sourire. Elle nous donnait à tous la joie de vivre, c’était grâce à elle qu’on riait. Ah ! Oui cette nuit là fut la plus fabuleuse de toute notre vie. Mais aussi la plus tragique, et depuis se moment la, Kaoru se renferma de plus en plus sur elle. Enfin, sa belle robe blanche flottait dans les airs, elle regardait on ne sait quoi, mais elle le regardait avec un air assez triste. Comme si elle regrettait un geste. Elle commença à chanceler, elle tomba, dans les bras de Zack. Il l’a regardait, il s’approchait. Kaoru était impuissante fasse a Zack et il le savait. Il la prit par la main en la levant. Il la tira dans ses bras, comme s’il savait ce qu’elle avait, il la serra contre lui, Kaoru avait quelques larmes qui commençaient à couler. Zack était tout le temps avec Kaoru, on aurait tant juré que c’était soit un couple soit des jumeaux. Des souvenirs oui, plein de souvenirs d’eux petits me revenait, leur première rencontre, je m’en souviens, Kaoru et moi étions dans le parc, nous n’avions pas plus de 7 ans, Zack était assis sur un banc, Kaoru courrait, elle l’avait vu, je crois qu’il pleurait, Kaoru alla le voir, comme toujours, elle détestait quand les gens pleuraient. Voilà comment ils se sont rencontrés, depuis ce jour la ils ne se quittèrent plus. Puis s’en suivit des rendez-vous ou personne ne put assister. Tout le monde le savait, ils s’aimaient mais ils étaient trop timides pour se l’avouer. C’était ainsi, Kaoru me l’avait avoué que ses sentiments avaient muté, mais sur le reste elle était restée muette.
Kaoru était partit avec Zack en direction du lac. Je m’étais retournée pour faire un signe de la main à Kaoru. Et je les vis, enlacer en train de s’embrasser, je me savais pourtant mais je restais avec un léger sourire au bout des lèvres. Ils étaient bel et bien ensemble. Ah, c’était vraiment une journée formidable, jusqu’à l’incident. J’entendis crier Kaoru, je me retournai. Zack, Zack était allongé par terre, dans une marre de sang, son sang, Kaoru criait et pleurait… Elle ne savait pas ce qui était arrivé, elle s’était juste retournée, pour m’appeler, et quand elle regarda Zack, il était mort, on ne sut jamais pourquoi. Tout ce qu’on avait trouvé c’était une dague, il y avait écrit une seule chose dessus ‘’Zahein’’. Kaoru la prit, elle la garda avec elle depuis cet incident. C’est depuis ce jour là que Kaoru à changer…
Je pense que cette page peut aider beaucoup de gens à la connaître. Même si je pense qu’elle devrait garder sa part de mystère. A ce qu’on m’a dit, Kaoru serait morte, mais je ne pense pas, elle doit être quelque part en train de rechercher le meurtrier de l’ombre qui lui a prit Zack, car depuis, je le sais elle n’a plus jamais voulu être avec un seul garçon… »


Le retour n’est pas chose facile…


Passons les détails du retour de Kaoru sur terre. Cela serait beaucoup trop long à expliquer. Disons simplement qu’ayant fait ses preuves dans l’autre monde, elle a put revenir. Sans qu’on en sache comment, elle avait maintenant plus d’armes qu’avant sa mort. Elle avait maintenant deux autres dagues et deux rouleaux. Elle avait donné les noms de ceux qu’elle avait affrontait et elle avait aussi une autre technique… Kaoru était de retour dans ce bas monde. Avec le souvenir de Zack, elle était revenue certes mais avec son apparence et les souvenirs qu’elle avait lorsqu’elle avait 16 ans. Zack était omniprésent, elle voulait retrouver son assassin. Même si en réalité c’était elle qui l’avait tué sans le vouloir.
Kaoru était maintenant une personne ni trop gentille ni trop méchante, même si son cœur lui avait choisit le coté obscur. C’était la seule chose qui restait de son passé, c’était cela, le coté qu’elle avait choisit. Le reste vous le savez, enfin presque tout de sa vie, sauf ce qu’elle ne veut pas que l’on sache, ce qu’elle gardera toujours enfuit dans sa mémoire.
Le matin prit la place du soir qui la lui céda. Une phrase était écrite sur un bout de papier Jaunissant :
« Je n'aime que deux choses mon animal, car grâce a lui, j’ai pu revivre. Et l'autre chose est bien plus complexe, tout réside dans un seul et unique fait, dans une situation des plus normale sans vraiment l'être. C'est une chose que tout le monde possède sans vraiment sans rendre compte, car tout le monde le sait sans le savoir comme quand on connait un voisin. Cette chose est informe tout en ayant une forme assez formelle. Cette chose est la chose la plus importante de ce monde, de cet univers si impure. C'est tout simplement le fait que la complexité est la source de tout et par conséquent le fait que ce soit justement la complexité qui me plait… »

Ainsi était la vie, ses mots étaient la sans l’être réellement, elle connaissait le dicton « Ecris tes peines et tes blessures dans le sable, et le vent du pardon les effaceront. Ecrit tes joies et tes bonheurs dans la pierre la où aucun vent ne pourra les effacer ». Un papier, oui sur un papier on ne pouvait pas non plus les enlever ses paroles. Et pour tant beaucoup de gens avaient essayé. Cela était une chose que tout le monde connaissait. Ah! Oui, vous devez la connaître, cette sensation, quand des personnes veulent effacer vos actions et surtout vous effacer vous. Mais Pourquoi ? En quoi cela avancerais le monde ? Le monde n’est déjà rien, avant il n’était rien, maintenant il n’est rien, demain il ne serra rien… Il était poussière il retournera poussière. Le sens du Sens n’a plus de valeur maintenant, même la valeur de la Valeur n’en a plus. Ainsi va le monde, ainsi va la vie, ainsi vont les pensées, car les pensée sont le reflet des sentiments que les sentiments font partit de la vie, et que par conséquent les pensées sont la vie. Les pensées forment les opinons, les opinons forment les sentiments, les sentiments forment la suite, et la suite forme la Vie… Les pensées forment la vie, autant que la vie forment les pensées


Dernière édition par le Mer 28 Nov 2007 - 16:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 18:33

Ce pavé fut très interessant à lire xD. Mais il manque le physique et le caractère ^^ Je crois que tu fais la suite non ?
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 19:09

Tout est dedans très cher Yuzu le sait elle est d'acc ^^ et puis comme je suis aussi admin elle m'a permis de le faire^^
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 19:13

J'ai pas eu le courage tout lire Sad (Honte à moi ... @_@ ) Mais le peu que j'ai lue était très interessant donc je pense que le reste est pareil Sleep .

Donc c'est validée je suppose :Youpee*: . (Faut quand même attendre Yuzu au cas ou ...)
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 20:27

yep validée par contre j'ai peu de temps je lirais ça lundi^^ (et vi ze bosse ce week...)
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MessageSujet: Re: Kaoru Van Meadör   Kaoru Van Meadör Icon_minitimeSam 24 Nov 2007 - 20:54

Autre:

Voila les images de mes armes^^
L'épée:
Kaoru Van Meadör Sword_designs_by_Wen_M3
Les dagues:
Dague1:
Kaoru Van Meadör Kriss_by_Marrazan
Dague2:
Kaoru Van Meadör Dague_by_Vandred
Dague3:
Kaoru Van Meadör Dagger
Les éventails:
Skin: (pas trouver)
Cloud:(pas trouver)
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