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 Fey (alias Creed)

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MessageSujet: Fey (alias Creed)   Fey (alias Creed) Icon_minitimeMar 22 Jan 2008 - 21:17

Nom : Neikos
Prénom: Fey (alias Creed)
Age : 22 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain possédé ; Mercenaire
Depuis combien de temps votre perso est-il arrivé à Heaven ? : 5 ans


Armes :

Deux armes à feu :
- Pistolet semi-automatique Desert Eagle .44
- Revolver Colt .44

Pouvoirs:
Célérité : augmentation de la vitesse de réaction et vitesse physique
Constitution : sa peau change de couleur et deviens noir, devenant extrêmement dur. Ses doigts deviennent pointu et ressemble à des griffes pour l’attaque.
Régénération : capacité de réparer ses blessures, quelque soi la gravité.

Points forts/ points faibles :

- point fort :
vitesse et constitutions : permettent d’attaquer au corps à corps grâce à ses doigts avec un gain de vitesse pour l’effet de surprise.
Il manie parfaitement ses armes de poings et se sers dans deux en fonction de la distance de l’adversaire et des conditions.

- point faible :
Constitution : craint les chocs et vole en éclat sur la zone touché. Ne protège pas des fractures lors d’une chute. Les armes enchantées ne sont arrêtés qu’à 25% au maximum.
Régénération : prend du temps en fonction de la gravité de la blessure. Ne peut se faire que par l’intermédiaire de ses mains. Ne peut pas être utilisé en plein combat ou juste pour arrêté un cours instant une hémorragie

Histoire

Préface :
Passé du stade de simple mortel à celui de simple morte possédé est en soit un bon. Mais lorsque l’esprit qui vous habite est un représentant d’un de vos penchants, le bon devient énorme. Bref, des changements radicaux dans le comportement et dans la façon de se comporter deviennent nets et soudain. Tellement net que cela peut faire peur si l’on connaît la personne de base, sa personnalité et ses manières. L’histoire qui suis n’est pas exotique, n’est pas sensationnel mais mérite juste à être lu avec divertissement.

Départ :
Son lieu de naissance était une grande ville dans laquelle son père occupait un poste de comptable pour un commerçant encore en pleine expansion et sa mère était représentante de commerce. Autant le dire tout de suite, la vie et le train de vie étaient assez simple au début : petite maison pour un train de vie modeste. Le commerce se fit fleurissant pour migré en une importante société qui permit aux deux parents de changer de train de vie pour passer de modeste à luxueux en l’espace de quelques années après l’arrivé du Fey.

Bref, dans ce genre d’environnement ou l’argent n’était nullement un problème, l’opulence est un fléau pouvant devenir une façon de vivre. Monsieur Neikos, lui, avait l’habitude de ne pas dépenser son argent dans l’artifice ou dans l’inutile. Il sera le cordon de la bourse familiale, au grand regret de sa femme qui commençait tout juste à ce demander si elle ne devrait pas se refaire une nouvelle garde-robe, complète, en vue de gala ou de soirée chic. Etant tout de même une femme à part en tiers, elle savait parfaitement que l’action était juste et justifier et se montra autant de lucidité qu’une femme a de part nature.

De son côté, le petit Fey était l’exception et était couvert de cadeau et chouchouter. Durant un temps seulement. Lorsqu’il réclamait quelque chose, son père lui posait une seul question, voir deux, à savoir « pourquoi faire ? » et « Tu es sûre de toi ? ». L’éducation de Fey tournait autour de ce genre de mots et de remarque, déteignant sur lui avec lenteur.

Son travail scolaire était récompensé en un salaire basé sur le mérite et appréciation. Les matières ou ce dernier était faible était côté à la hausse par rapport au celle ou il s’en sortait bien. Inutile de dire qu’il n’aimait pas cette situation et qu’il veillait à son argent d’aussi près qu’un enfant de 8 ans pouvait le faire à ses débuts. Plus le temps avançait et plus il apprenait sur les manières de l’économiser. Il comprenait que son père lui apprenait la valeur de l’argent, le préservant d’une jeunesse sans cervelle dont les activités insouciantes en faisaient de futur incapable.


« L’avarice est un pêché d’après une religion, mais savoir se montrer économe et vouloir plus n’est pas forcément une mauvaise chose. » Tel était un des nombreux dictons du père envers son fils.

Le jour où ce dernier annonça qu’il voulait se mettre au tir sportif à l’arme à feu, il n’eu pas de remarque, seulement celle du prix des munitions à surveiller et à acheter en gros pour avoir des prix au rabais. Remarque étrange mais juste, que Fey ne pouvait appliquer du fait de ces économies. Il se commanda armes, chargeur, holster et munitions d’un bloc pour avoir tout de même un petit rabais. Les petits profits n’existaient pas chez lui, même à l’âge de 15 ans ou l’esprit rebelle est à son paroxysme.
En dehors de ses histoires de famille, il n’était pas pingre à ce point et n’hésitait pas à mettre la main à la poche lorsque fêtes et autres occasions de s’amuser avec des amis se présentaient. Il était sociable et son côté économe faisait rire beaucoup de monde, surtout lorsque l’instant d’avant il s’était proposer pour faire une avance d’argent ou de prêter du matériel sans demander quoi que soit en retour. Bref, dans le privée, un vrai comptable et dans le public et vrai dépensier.


Tournant :
Toute chose à une fin dans ce monde mais justifie-t-elle les moyens ? L’histoire aurait pu être tragique pour le jeune Fey du haut de ses 16 ans. Le garçon ne manquait de rien mais commençait récemment à discerner un certain malaise qui régnait dans la maison. Sa mère lui jetait de rapide coup d’œil, de peur de le regarder dans les yeux. Son père était nerveux et avait perdu énormément de poids et de cheveux. Les dîner ne se faisait plus en famille, seul Fey ainsi que la bonne, engager deux ans plus tôt, mangeaient ensemble à présent. Bref, même un idiot comprenait facilement que ses parents cachaient quelque chose ou qu’ils préparaient quelque chose.

Un jour où ses parents étaient de sortie, Fey posa discrètement une question à la bonne. « Qu’est-ce-qui se passe ? ». Une simple phrase qui arrêta la femme d’âge mûr dans la dégustation de sa soupe. Elle lui répondit simplement qu’elle ne savait pas sans montrer le moindre signe d’une dissimilation d’information quelconque. Les jours passèrent et ses parents commencèrent à se montrer de nouveau à table, souriant et avec une meilleur mine. Se retournement de situation ravie le jeune homme qui songea qu’une mauvaise passe venait de passer sans incident. Mais la bonne, elle, se montra plus perspicace et intelligente que ce petit couple dont le regard était devenu étrangement attentionné. Fey commençait à sortir de plus en plus avec ses parents pour des dîners ou de manière privée. Ils lui présentèrent des familles qu’il ne connaissait pas ainsi que certaines jeunes filles qui ne le laissaient pas indifférent. Sa vie privée était devenu assez remplit, entre amis d’école, petite aventure avec quelques filles, et sorties, tout aurait été simple si ce n’était que sa bonne avait l’air de ne plus apprécier ses parents et cherchait à parler à Fey le plus souvent possible. Elle lui recommandait de décliner certaine sortie et de toujours faire attention à lui. Recommandation suivit à la lettre par le jeune adolescent qui écoutait toujours la vielle femme comme si cette dernière était sa deuxième mère, pleine de bon sens et de conseils avisés.


Fuite :
Des rêves agréables en cette soirée d’anniversaire ponctuaient les mouvements du garçon dans son lit à baldaquin, se remettant de la célébration des 50 ans de sa mère. Au moment ou une femme femme posa sa main sur son front, elle se révéla tremblante et glaciale. Il ouvrit les yeux et une main se plaqua sur sa bouche pour l’empêcher de faire le moindre bruit. La domestique était en larmes et le pressa d’un signe de la main de se taire et de le suivre après lui avoir tendu des vêtements, le sortant d’un rêve qu’il ne finirait plus. Fey s’habilla en baillant et sortit doucement de sa chambre en direction du salon sur la pointe des pieds. Il connaissait bien les manières cette dame et savait qu’il devait la suivre, cela était sans aucun doute très important. Ses parents dormaient à l’étage et ne purent l’entendre sortir dans le couloir du rez-de-chaussée. Dans la lumière filtrant des fenêtres, produite par un claire de lune impressionnant, il vit une petite valise ainsi qu’un sac à dos posé sur le seuil de la porte menant au débarra, une fois arrivée dans la pièce ou il était attendu par la domestique.

Sans pouvoir poser la moindre question, la femme prit le jeune homme dans ses bras et lui parla à l’oreille. Il sentit qu’elle que chose tomber dans la poche de son pantalon.


« Lit ça une fois dehors, après une enveloppe te sera remise à destination. »

Une étreinte plus forte plus tard, Fey était dehors, en direction de la gare. Sur le chemin il sera le mot écrit à la hâte qu’il venait de recevoir et qu’il avait lut rapidement. En passant devant une horloge, il vit les aiguilles lui indiquer qu’il était 5h45 du matin. La fraicheur de la nuit lui faisait oublier qu’il était encore en été, mais sa marche le réchauffait suffisamment pour qu’il s’en accommode facilement Il pressa le pas, tourna à l’angle pour prendre une rue annexe et se rendit à la gare de chemin de fer par l’entrée secondaire passant par les voies ferré. Un train était là, attendant de partir avec ses passagers du moment. Il alla s’acheté un billet et se rendit rapidement dans le compartiment désigné pour s’y installer et enfin pouvoir soufflé. Une fois callé dans son fauteuil, au chaud, avec quelques viennoiseries acheté à un boulanger en train d’ouvrir boutique, il regarda sa propre montre : 6h30.

Un coup de sifflet, répondu par un autre, une légère agitations des derniers passagers finissant leurs cigarettes à la hâte avant que les portes ne se referme et le voila partant pour l’inconnu. De sa poche dépassait un morceau de papier froissé dont l’écriture était encore lisible malgré les triturations du jeune garçon.

Citation :
« Fey,
Pardonne moi, je ne peux pas te dire autre chose mais je veux que tu fasses ce que je te dis sans poser de question ni te retourner. Tu es et deviendra quelqu’un de bien j’en suis sûr ! C’est pourquoi tu dois partir maintenant !
Tu iras à la gare et prendra un billet de train qui devra partir à 6h55 pour aller dans la capital. Mon frère te retrouvera là-bas et te conduira à ta prochaine destination : Heaven. C’est une ville que personne n’ose approcher mais je suis sûr que ce lieu sera des plus sûrs pour toi. Arrivé là-bas, entre y et à ce moment-là ouvre l’enveloppe qu’il te donnera. Pas avant.

J’espère ne jamais devoir te revoir, les circonstances seraient catastrophiques. »

Heaven :
Une fois arriver, un homme aux cheveux poivre et sel s’occupa effectivement de lui et l’emmena à plus de cinq cents kilomètre de là avant de s’arrêté en plein milieu d’une route en terre battu. Malgré la curiosité, son manque de sommeil et le mal de dos d’avoir été balloté toute une matinée et un après midi complète, il prit la direction d’une ville qui se dessinait à l’horizon. Il nota cependant un regard étrange au vieil homme avant que ce dernier ne reparte à toute allure dans le sens inverse de la ville.

*Drôle de type.*

En effet, c’est après des heures de marche et une nuit forcé à la belle, et fraîche, étoile que Fey arriva. Il trouva une chambre d’un prix ridiculement bas et s’y installa. Il s’allongea dans le lit au drap propre et doux un instant et respira calmement durant une bonne dizaine de minute. Une image lui vint à l’esprit, le réveillant de ses songes : la lettre.

Il ouvrit sa valise et y vit un spectacle insolite : une liasse de billet de banque, ne permettant pas un long répit, ainsi que ses deux armes de poings avec lesquels il s’entrainait au tire dans un club privée, rangé dans leurs holsters. Quelque affaire recouvrait cinq chargeurs pour automatique pleins et trois chargeurs pour révolver à remplir. Il se rendit vers sa fenêtre d’un bond, ferma les volets et la porte à clef, alluma la lampe de chevet et sortie toute ses affaires. La lettre se trouvait au fond de la valise, sans intitulé. Il l’ouvrit et la lut brièvement avant de la laisser tomber au sol. Une écriture soignée était visible.

Citation :
« Fey,
Tes parents ont placé une assurance vie sur toi. Tu te doute bien maintenant pourquoi je t’ai fais partir. J’ai gardé les yeux sur leurs actes durant un moment sans jamais rien savoir, mais je sentais qu’ils étaient étranges. Je n’ai appris la nouvelle qu’il y a peu de temps, au moment ou je faisais du rangement dans la pièce voisine de celle du bureau de ton père. Au moment ou tu lis ces lignes, tu es en sécurité et personne ne te retrouvera ou n’osera te retrouver.
Je ne connais pas cette ville, mais elle ne devrait pas être pire que ce qui t’attendrait si tu restais ici. J’espère que tu sauras te débrouiller avec ce que je t’ai laissé. Reste à cet endroit aussi longtemps que tu peux et ne te fais pas remarquer.
Adieux. »

Fey regarda devant lui et se plaqua les mains sur le visage.

* C’est pas vrai !*

Il se laissa tomber sur le côté et ferma les yeux. A son réveille, serait à la maison et tout irais pour le mieux. Esprit candide face à l’adversité des événements improbable.


Dernière édition par le Mar 22 Jan 2008 - 21:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Fey (alias Creed)   Fey (alias Creed) Icon_minitimeMar 22 Jan 2008 - 21:17

Deux ans plus tard :
Fey, malgré son jeune âge lorsqu’il s’inscrivit, était chasseur de prime et arrivait tant bien que mal à survivre. Il avait trouvé un logement, enfin un endroit ou dormir et mangé sans être dehors. Ses conditions précaires ne lui posaient plus de problème. Le problème était autre, il avait été engagé par deux frères qui étaient tout bonnement des ordures de la pire espèce. Avares, idiots, ivrognes, brutales et lâches, incapable de savoir se servir de leurs pour autre chose que se gratter tout le corps et compter les billets. Deux porcs, mais les seuls qui acceptèrent de prendre un étranger dans cette ville qui cachait quelque chose. Il faisait ce qu’il pouvait pour économiser mais la situation était toujorus précaire.

Il avait gagné des centimètres et une bonne carrure dû à ses cavalcades derrières les mauvais payeurs et petites frappes. Ses journées de jeûnes forcé lui donnait une silhouette fine et robuste avec des muscles saillant sous sa peau mâtes. Mais il en avait assez de cette situation. Ses armes ne servaient pas souvent, les munitions étaient chères, mais ils les portaient tout le temps avec lui pour menacer ou pour frapper avec. Il ne connaissant de la ville que ses rues et ces histoires macabres mais sans plus. Juste un secteur lui avait été interdit : le secteur grillagé où se tenait un cimetière.


Rencontre & Procession :
Comme toujours, le gros lard n’était pas loin du derrière de Fey qui venait de mettre son Colt contre la nuque de sa proie coller contre un grillage. Malgré la nuit tombante, il le voyait regarder l’engin de mort avec effroi. Mais étais-ce l’arme qui lui faisait réellement peur. Fey l’avait vue faire demi-tour direction vers lui au moment ou le grillage fut en vue. Il se trouvait effectivement dans les environs de la zone interdite, mais n'y avait pas encore mis un pied.

« Bon on l’a eu, aller, assomme-le qu’on se casse d’ici ! » grogna son « équipier ».

« Ok. »

D’un coup de poing, il assomma sa proie qui glissa jusqu’au bas du grillage. Il le regarda et soupira doucement.

« He hé, encore 3.000$ en poche ! » jubila l’homme.

« Et moi ? Combien il me restera ? » Grogna Fey avec une voix menaçante.

« 10% comme d’hab’ gamin … » dit le pachyderme et se retournant pour partir.

« Tu m’avais dit que ce serais plus cette fois ! Tu te fous de moi ! Tu portes même pas les types que je ramène ! Je veux 50% ! » déclara Fey avec un accès de colère montant.

« Rêve ! T’as suffisamment pour vivre alors ça ira ! »

Fey ne pouvait répliquer. En deux ans de vie ici, personne ne voulait l’engager à cause de ces deux types qui semblaient mouiller dans pas mal de chose louche. Il baissa les bras et se pencha vers le corps inanimé, ravalant sa rage.

*Ce type, si je pouvait le supprimer lui et son frère … je ferais tout pour ça, même laisser mon âme au démon.*

*Voyons pas de gachi t ! On ne donne pas de confiture au cochon. Tu veux de l’aide ?*

Un peu tard certes mais Fey se rendit compte que quelqu’un lui parlait, quelqu’un qui lui semblait étrangement proche. Mais quelque chose de malsain, de froid s’insinuait en lui. Au loin la voix de l’équipier se fit tout juste entendre.

*Je peux t’aider à avoir ce que tu veux, te donner la force pour ça. Tout ce que tu as à faire est de me dire « oui » et me laisser faire. Je ne demande rien en retour.*

Des images d’une vie meilleure étaient récurant dans son esprit et ses rêves. Des envies de mieux. Des envies de tout qui pourrait le sortir de cette situation.

*Oui, tout ce que vous voudrez du temps que je sorte de ça et qu'ils payent !*

Une ombre passa devant ses yeux avec un sourire étrange et des yeux rouge sombre.

*Excellent, je suis Creed, esprit d’avarice. Par ce pacte, te voila en ma possession en payement de mes service, humain.*

L’affaire était entendu et Fey venait de se faire rouler en bonne et dut forme. Un peu plus tard, l'équipier avant en travers de la gorge quatre doigts noir sur lesquel le sang coulait en abondance.

Mercenaire :
Le lendemain matin, la ville venait de connaître une nouvelle histoire étrange : le chasseur de prime et le gérant avait disparut en une nuit, laissant une salle vide et propre.

A l’autre bout de la ville, Fey rabattait son chapeau de cowboy sur ses yeux pour faire sa nuit. Un gilet noir neuf, une chemise rouge sombre neuve, un pantalon noir neuf, des sous-vêtements neuf et des chaussures en cuir noir neuves.

*Pratique le chapeau du vieux. Avec son fric j’irais prendre quelque fringue pas chère et avec le reste, je vais me prendre son office pour m’installer à mon compte. Ça me rapportera un petit paquet et pour pas un sous, j’étais un employé modèle !*

Il ferma les yeux, sentant les billets de banque se presser contre son dos dans le petit sac en toile. Un regret vint perturber sa sieste de la matinée tout de même.

*J'aurais pas du tout balancer, des trucs auraient pu se vendre.*

Ses cheveux devenu rouge sombre lui tombèrent doucement devant les yeux derrière lesquels, un autre être avait ait quelque changement : Creed.

Caractère :
Sociable, il ne manque pas de faire preuve de courtoisie avec la gente féminine et de retenue face à la gente masculine.
Il aime s’habiller correctement et ne fait confiance à personne.
Il ne donne ni ne prête quoi que ce soit, sauf si il en tire quoi que soit en retour.
Toujours avide de pouvoir, de femme, d’argent, d’arme, il en voudra toujours plus, qu’importe les moyens à employé ou les conséquences.
Il ne cherchera pas les ennuis, sauf si il peut en tirer quelque chose qui rapporte quoi que soit.

Physique :
Cheveux brun d’origine qui ont viré au rouge sombre après son changement sont mi-long coiffé en arrière.
Ses yeux sont marron claire et rouge foncé en plein soleil et sa peau avec un léger teint hâler.
Son visage est fin avec une mâchoire légèrement anguleuse.
Taille : 1.85m pour 80kg.
Il a une belle musculature apparente, n’ayant pour but que d’attirer les femmes et de repousser ses concurrents ou ennuis possible.

Ce que votre perso aime :
- Avoir ce qu’il désire.
- Ne rendre de compte à personne
- Ne pas avoir d’ennuis
- Ses deux armes
- Le pouvoir
- Les personnes qui savent se taire quand il parle
- Ceux qui lui ressemblent
- Les habilles qui le mettent à son avantage

Ce que votre perso n'aime :
- Ne pas avoir ce qu’il désire
- Avoir une personne à qui rendre des comptes
- Avoir des ennuis
- Ne plus avoir de munitions
- La faiblesse
- Les imbéciles et les bagarreurs en puissance
- L’ennui
- Les habille de mauvais goût

Liens familiaux [facultatif]:
Aucun

Animal possédé [facultatif]:
Aucun

But:
Mener sa vie comme il l’entend : entourer de tous ce qu’il désir.
Autre(s) [Facultatif] :
Rien

Comment avez vous découvert le forum?:
Sur un moteur de recherche pour fofo trouver sur google.

Votre niveau en RPG:
Convenable (je pense).

Quelle est la mascotte du forum?:
(mis dans la boite MP ^^)
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Equipe administrative
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Niveau de RPG : Correct
Nombre de messages : 2753

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MessageSujet: Re: Fey (alias Creed)   Fey (alias Creed) Icon_minitimeMar 22 Jan 2008 - 21:39

Fiche validée, je te met ton rang et crée ton logement. Bon jeu à toi^^
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MessageSujet: Re: Fey (alias Creed)   Fey (alias Creed) Icon_minitime

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