..:Votre identité:..Photo: Nom: Kamnen
Prénom: Faram
Surnom: Aucun
Age et date de naissance: 23 ans (février 1987)
Sexe: Masculin
Nationalité: Française
Groupe sanguin: A+
Race: Humain
Alignement: Bon
..:Votre vie à Heaven:..
Date d'arrivée dans la ville: 10 mai 2010
Métier: Prêtre exorciste
Camp: Civil
..:Technique de combat:..
Armes: La Foi ! Crucifix, eau bénite, sels exorcisés… ainsi qu’une rapière.
Pouvoirs: - Faram est capable de percevoir les esprits errants, de distinguer les possédés ainsi que l’essence du Mal, plus généralement.
- Faram est capable d’immobiliser un corps ou un esprit grâce à des liens magiques sacrés. Il ne peut cependant utiliser ce sort que sur une personne ou un esprit à la fois.
- Plus tard, Faram sera capable d’invoquer la Sainte Lance (lance ayant transpercé le flan du Christ sur la croix) pour donner un coup fatal aux créatures du Mal. Très puissant, ce sort l’épuisera et le rendra incapable de se défendre pendant quelques instants. De plus, il lui faudra plusieurs heures pour le recharger.
Point fort et point faible: Au corps à corps, Faram est un habile escrimeur. Il est vif et a de bons réflexes mais est plutôt faible en matière de force brute.
Technique de combat: Faram combat au corps à corps grâce à une rapière bénie qui inflige des dégâts à la fois physiques et spirituels qu’il ne s’autorise à utiliser que contre les créatures du Mal. Il est assez rapide et agile pour esquiver la plupart des attaques. Contre les créatures les plus puissantes, Faram peut, après les avoir immobilisées ou affaiblies, utiliser la Sainte Lance pour pourfendre le Mal en un coup final.
Contre les êtres possédés ou esprits errants, le prêtre exorciste utilise, lorsque c’est nécessaire, le sort des liens divins pour maintenir le malin, puis effectue le rituel du Grand Exorcisme grâce à sa litanie.
..:Compétences:..
Force: 2
Défense: 3
Magie: 6
Endurance: 3
Vitesse: 6
..:Descriptions:..
Histoire:Faram Kamnen est né le sept février 1987 à Bordeaux. Le début de sa vie fut banal et normal mais c’est à l’âge de sept ans que Faram commença à voir des choses… qu’il ne devrait pas. Faram rapportait à ses parents qu’il voyait des enfants, des vieillards, ou des adultes un peu partout. Ils étaient tristes ou en colère et demander de l’aide au jeune enfant qui, souvent était terrorisé. Ses parents qui, au début, penchaient pour une imagination très fertile et des cauchemars, en vinrent vite à l’évidence : leur enfant n’était pas sain d’esprit. Ils consultèrent de nombreux thérapeutes en vain.
Puis un jour, à l‘âge de 8 ans, Faram affirma que c’était terminé, qu’il ne voyait ou n’entendait plus personne. Ses parents furent grandement soulagés… du moins pendant un temps. Car sa mère le surpris en train de parler tout seul un soir dans sa chambre. Faram avait délibérément menti pour qu’on le laisse en paix.
Ne savant plus que faire, les parents de Faram décidèrent de l’hospitaliser. De force, le jeune enfant fut arraché à son foyer, à sa famille et à son enfance.
Durant ce séjour, Faram était drogué et rendu à l’état végétatif. Lorsque ce n’était pas le cas, il continuait pourtant de clamer haut et fort sa lucidité mais aussi la présence de ces gens qui, disait-il, étaient en vérité des âmes errantes en quête de la paix éternelle.
Deux longues années avaient passé avant que le destin ne soit plus clément envers Faram, qui venait de fêter ses 10 ans. Faram reçut la visite d’un clerc qui pu converser avec lui alors qu’il était lucide.
Dans la petite chambre, les poignets du jeune garçon étaient attachés aux barreaux de chaque côté du lit, l’on avait redressé le dossier afin qu’il puisse contempler le vide du mur blanc auquel il faisait face, sans expression aucune. Faram n’esquissa pas un mouvement lorsque l’infirmière lui annonça qu’il avait de la visite. C’était pourtant très rare car ses parents l’avaient bel et bien abandonné. Pour eux, leurs fils était mort et ils venaient pour soulager leur conscience en se recueillant devant ce véritable tombeau.
Un homme vêtu de noir se dévoila et vint se placer près de Faram alors que l’infirmière sortit et referma la porte. Avant de prendre la parole, l’homme, qui ne devait pas avoir tout à fait la quarantaine, étudia quelques instants l’enfant, dont seul la poitrine se soulevait au rythme de sa respiration.
- Je suis le père André Monnier. J’ai beaucoup entendu parler de toi, Faram.
Mais le clerc n’eut aucune réponse. Comme le lui avait indiqué l’infirmière, Faram ne parlait plus depuis plusieurs mois.
- Que dirais-tu si je te disais que je te croie, Faram ? ajouta le père.
Faram, absent jusqu’alors, tourna la tête doucement vers l’homme et le fixa quelques instants.
- Vous mentez. Vous dites ça pour voir si je suis encore fou, répondit le jeune garçon d’un ton calme.
- Non, pas du tout, s’indigna le père, je te crois vraiment Faram ! Et sais-tu pourquoi ? Parce que je sais que les esprits errants existent.
- Vous… Vous les voyez vous aussi ?
- Non, dit le clerc en secouant la tête. Mais je connais certaines personnes qui le peuvent, tout comme toi, ajouta-t-il en souriant.
Le jeune garçon parut tout étonné, c’était presque trop beau pour être vrai.
- Vraiment ? Alors je ne suis pas fou ?
- Bien sûr que non mon garçon ! Et c’est pourquoi je vais te faire sortir d’ici sans plus tarder !
Faram n’en revenait pas. Comment était-ce possible ? Lui qui jamais n’avait pu espérer sortir d’ici un jour.
- Je vais t’emmener dans un petit séminaire, qui se chargera de te conférer une éducation. Par ailleurs, tu auras un professeur particulier qui t’enseignera comment te servir du don que t’a fait le Seigneur, dit le père Monnier.
- Mais… et mes parents ? demanda simplement l’enfant.
Le clerc parut surpris par cette question.
- Tes parents ? Nous en parlerons, un fois en route, tu n’as pas à avoir peur, rassura-t-il.
Il s’avisa soudain que le pauvre Faram était toujours solidement attaché au lit.
- Infirmière ! manda le père.
Après quelques instants la porte s’ouvrit laissant entrer l’infirmière.
- Oui, mon père ?
- Voulez-vous bien avoir l’obligeance de défaire de ses liens ce jeune garçon tout à fait sain d’esprit je vous prie ? dit-il, un brin agacé.
- Bien mon père.
Et l’infirmière s’exécuta. Faram s’émerveilla de retrouver la mobilité de ses bras.
- Vous ne lui avez rien dit pour ses parents ? demanda-t-il à voix basse.
La jeune femme s’empourpra.
- Eh bien… non, avoua-t-elle. Nous avons préféré lui épargner ce chagrin-là…
- Je vois… mais l’occultisme ne mène à rien. Je me chargerai de lui dire ce qu’il en est.Ainsi, Faram débuta une nouvelle vie, une vie où il put se faire à nouveau des amis, et nouer des liens. Le père Monnier, professeur au petit séminaire où Faram était inscrit, lui avait révélé que ses parents étaient décédés dans un accident de voiture lorsqu’il avait 11 ans. C’était pour cela que les visites avaient cessé…
Faram était bon élève, et sa nouvelle vie lui plaisait. Ce fut le père Leblanc qui lui appris à se servir de son don. Il lui appris que les âmes qui parcourraient encore la terre après leur mort s’accrochaient pour une certaine raison. Un secret à révéler, un regret trop grand… Ces âmes-là étaient en détresse et il fallait faire son possible, grâce à ce don, pour les aider.
Faram aida le plus de gens possible, et pas seulement les morts. Il était reconnu comme un modèle dans sa communauté mais Faram demeura très humble.
Lorsqu’il devint prêtre, le père Monnier lui parla alors des mauvais esprits, de la possession, et des créatures du Mal, tels les démons, vampires ou succubes. Il lui avoua alors qu’il nourrissait depuis le début, pour le jeune Faram, l’ambition de devenir exorciste, grâce à son don. Faram accepta de mettre ses capacités et sa vie au service des autres et du Bien. Ainsi fut-il formé prêtre exorciste par d’autres possesseurs du don sacré. On lui appris de nombreux différents rituels, tels l’exorcisme d’un lieu hanté ou d’un possédé par le malin, ou la bénédiction d’objets ou de personnes.
Cette formation fut éprouvante, notamment lors de la pratique du rituel du Grand Exorcisme dont le but est de chasser le malin du corps d’un serviteur de Dieu. Mais grâce à sa foi inébranlable, Faram réussissait toujours à triompher du Mal.
A 23 ans, Faram avait déjà une expérience tout à fait honorable, bien qu’inférieure à celle de ses anciens professeurs. Il s’agissait de l’une des raisons qui avaient poussé Monseigneur Darcis, archevêque de Bordeaux, à parler de la ville de Heaven à Faram. Il s’agissait d’une petite ville, au nord du pays, dont les rumeurs étaient nombreuses dans les alentours. Monseigneur Darcis avait eu la confirmation que cet endroit était bel et bien maudit ; nul ne pouvait en ressortir, une fois entré. Une guerre civile y faisait rage, opposant les forces du Mal aux habitants qui avaient pris les armes. Car dans cet enfer, la concentration en êtres démoniaques et esprits malfaisants était dangereusement élevée. De plus, les cas de possession ne se comptait plus. Seule la mort et la désolation semblaient régner sur ces terres maudites.
Toutefois, il y avait un espoir. L’Etat venait d’investir les lieux avec une nouvelle technologie permettant aux militaires de contrecarrer la malédiction. Mais l’Eglise craignait des débordements et l’anéantissement total de la ville, faisant périr le Mal, certes, mais également de nombreuses âmes innocentes, créatures de Dieu. Monseigneur Darcis avait été clair, si jamais Faram acceptait de se rendre à Heaven et faire son devoir de serviteur de Dieu, il n’en reviendrait sans doute pas.
Malédiction ou non, Faram était persuadé que Dieu voulait qu’il accomplisse son devoir.
Caractère:Faram Kamnen n’est pas un garçon compliqué. Il est sympathique, attentionné, curieux, fidèle à ses principes, droit et honnête. Il aime se rendre utile, il est serviable.
Faram a horreur de la violence mais il est parfois bien obligé d’y avoir recours. Il est, naturellement, très pieux et sa foi est sans faille. Par ailleurs, il déteste les injustices, quelles qu’elles soient.
En règle générale, Faram ne se fait que des amis.
Apparence physique:Faram est un jeune homme tout à fait charmant, autant par son physique que par ses attitudes ou ses paroles. De taille moyenne, il est assez svelte, mais pas très musclé. Ses longs cheveux noirs cascadent le long de ses épaules. Plus d’un lui ont dit que la couleur de ses yeux changeait régulièrement, allant d’un gris-vert jusqu’au vert sombre.
..:Préférences:..
Ce que votre perso aime: Faram aime faire le bien autour de lui en se rendant utile. Il aime lire et rédige notamment un carnet de voyage durant son séjour à Heaven.
Ce que votre perso n’aime pas:Faram déteste l’injustice, la violence et la méchanceté.
Lien familiaux: Aucun parent vivant.
Animal possédé: Aucun.
But: La mission de Faram est d’envoyer les âmes perdues au Seigneur et de détruire les créatures du Mal.
Autres renseignements:..:Renseignements complémentaires:..
Comment avez-vous découvert le forum?: Grâce à Lauranna
Votre niveau en RPG?: A vous de voir
Rang souhaité: A quel niveau ?
Quelle est la mascotte du forum?: Vu par Ayu