Début d'une quête de vengence

Il se fesait tard la nuit tombé sur Heavun, assis sur l'herbe, encapuché de sa grande veste Leon regardé le couché du soleil.

- Tant de beauté dans un acte si patéthique...si seulement Marie était la pour le voir...

Une larme perlat de ces yeux et d'un coup il revit la scène dans les moindre détails :

* Hun...hun je vais te tuer pauvre vermine ! Hun...j'entends ta soeur qui pleure en moi ! Mouhahahahaha ! Elle me suplie de te laisser tranquille ... Mais non, je vais te tuer ! Waaaaa...! *

- Arg...Pourquoi tant de pensé !

Leon ce releva c'est jambe engourdit, le torturé mais il n'était pas lui même, la douleur ne lui fesait rien, l'image de ce qui c'était passé depuis maintenands une semaine ne s'était toujours retiré de son esprit. Il ne dormait presque plus à cause de cauchemard quotidien.
Fatigué mentalment et physiquement et hurla d'une voie si puissante qu'elle résonnat dans la profondeur du parc ténébreux :

- Stop Je n'en peux plus ! Je suis à bout image ! Maudite...Mau...dite! Sort de ma tête !

Un choc mentale fit plié les jambes du jeune homme qui s'écroulat de totu son poids sur l'herbe verdoyante de la foret.

- Scrphhh...

Un bruissement retentit ou plutôt un craquement de feuilles venant de bosquet tous proche. Leon sortit immédiatement le 9mm de sa poche de rangement est fît mine de visé le bosquet.

- Qui va la ! s'écriat le jeune homme éffrayé et essouflé de produire un effort physique.

- Hun...hun ! Pauvre imbécile croyé tu vraiment qu'il serait si facile me tuer hun...hun... et maintenand...
Le cadavre sanguinolant de sa soeur fit apparition de derrière les bosquets en brandissent une lame à la main. Leon eu beau vidé le chargeur rien ni faisait marie avancé et quands elle fût sur lui elle s'écria en rigolant :

- Meurt ! Meurt ! Muhahahahaha

Il faisait nuit quand le garçon ouvrit les yeux. Transpirant, halentant comme si il venait de terminé un marathon de cent kilomètres.
- Hurg... Encore un cauchemards... quands sa va enfin s'arreté B***** .

Il essaya de se relevé et ceci sans problème.
- Hum au moin je suis rassuré ce n'était vraiment qu'un cauchemards.
( Pfuuuu... ) Ils ce mit à avancer vers la sortit du bosquet lorsque dans un craquement de branche une ombre apparut.
D'un geste vif il dégénna le 9mm de son rangement le mit en joue et pointat l'ombre en question.
- Ami ou enemie!
Lança le jeune homme en ce metant en potition offensive. Leon repenssat à son rêve et le doigt se rapprocha dangeureusement de la détente.
Mais l'ombre de parler pas.
- AMI OU ENEMIE !
hurla le jeune homme !
Qui pouvait bien être cette étrange personne se cachant dans un bosquet à une heure pareil. Rien de vaut la sureter je vais me préparer, il se peut que se ne sois pas une rencontre désirer .

Liliann avait errer pendant toute la journée dans les rues de la ville, sans réellement savoir où elle allait, ni ce qu'elle allait faire. Toujours sous le choc, elle était sans cesse absente, plongée dans ses pensées. Toujours alors qu'elle marchait, la nuit tomba, mais Lily n'avait pas plus de refuge. Heureusement pour elle, ses vêtements étaient maintenant secs, ce qui lui évitera de tomber malade. À l'approche du parc, la donzelle ressenti en elle une immense colère, mêlée à une touche de tristesse. Affectée du son empathie, elle approcha lentement des lieux. Ne pouvant pas déterminé si l'être était possédé, elle décida de s'accroupir derrière un buisson et d'observer la scène, mais un faux pas la fit repérer.
Alors que Leon approchait, lui demandant de décliner son intention, elle restait figée et muette, apeurée par l'humain. Elle espérait fortement que l'homme change d'idée, qu'il rebrousse chemin, mais il ne fit guerre cela.

" Je... Je... "

Bafouille-t-elle en se relevant avec hésitation.

" Amie... Je... Je crois... En fait... Je... Bah... Je ne veux pas de mal... "

La donzelle avait les cheveux en broussaille, les vêtements tachés et déchirés, elle ne portait pas de soulier et son teint était pâle. Son regard scrutait l'être; elle tremblait sous la vision de l'arme à feu. Tant de violence... Le monde extérieur était vraiment appeurant...

hrp: il manque des lignes et tu t'es trompé de compte, merci de coriger ceci

Liliann tremblait toujours, ne détachant pas son regard de son interlocuteur. Elle savait ce qu'était un fusil, pour l'avoir vu dans ses livres, et elle fut heureuse de voir que l'être le serra bien vite. Elle fut aussi rassuré de sentir un apaisement dans les émotions de Leon.
Malgré tout les mouvements que le jeune homme faisait autour d'elle, elle ne bronchait pas, toujours figée; ça devenait une sorte d'habitude pour elle. Il faut du moins admettre que tout ces chocs émotionnels, comme le monde extérieur, étaient très précipités. C'est à cet instant, alors que son regard scrutait toujours l'être devant elle, qu'une veste apparut sur ses épaules, surprenant Lily. Légèrement énervée par cette action, elle recula d'un pas très brusquement, enlevant la veste.

" Ne me touchez pas... "

Dit-elle farouchement.

" Et puis, si c'est vraiment l'hiver, pourquoi n'y a-t-il pas de neige? "

Dans les livres, il était écrit que l'hiver était blanc de neige et tout ce que Liliann voyait était de l'herbe. Certes, les temps étaient frisquets, mais il n'y avait guère de neige. Néanmoins, elle se calma légèrement et daigna donc se présenter.

" Je me nomme Linaly-Ann Zanakis... "

Elle fit une très brève pause.

" Mais ma mère m'appelait Liliann "

Leon plutôt surpris du refut de la jeune fille, il ratrappa sa veste et la remis sur son dos. Cette jeune femme le laissé rêveur, la même voie que Marie, cela lui était ci surprenant ... La jeune fille venait de lui parler farouchement.
*** Tien donc? Elle me prends de haut la donzelle*** pensa Leon en la regardant d'un air amusé. Enfin elle lui paressait trop calme pour être possédé, mais les apparences sont parfois tompeuse, caché t'elle un jeu bien particulier? Sa n'en avait pas l'air, mais on est jammais asser prudent! Leon se remis légérement sur la défensif et se mis à marché en arrière.

- Vous savez l'hiver n'est pas qu'une saison ou la neige tombe, c'est une saison triste certe à mais yeux, mais pour une famille elle est magnifique. Elle représente Noel! Elle représsente aussi le sapin roi de la fôret seule à garder de fine éguille et à rester vert en cette saison... Je peux donc vous appelez Liliann?
Sous ces mots Leon trébucha sur une racine. (Il n'est pas malin du tout ce Leon ><) En tombant sa tête heurta un arbre ce qui l'assoma quelque peut.

- Hurg...bobo...

Une grosse bosse vené de prendre racine dans le cuir chevelut de Leon, il se mit à la frotter légérement.

- Aie! Fait mal saleter de truc de machin de...

Leon releva un peu la tête mais la jeune fille ne pouvait encore pas apparaitre sur son champs de vision.
*** #@\}| sa fait vraiment mal ! Première fille que je rencontre depuis des mois et il faut que je m'enbromche sur une raccine pour tomber tête la première sur un arbre. ***

Liliann fixait encore Leon. Comment une saison pouvait-elle être triste? C'était une saison après tout, rien de méchant ou gentil. Mais bon, le moment vint où l'homme évoqua Noël... À cet instant, une lueur nostalgique envahi son regard. Elle n'avait, certes, jamais fêté un Noël conventionnel, mais elle avait toujours aimer cette fête. Lors de cette journée unique, elle et sa mère s'assoyait chacune de leur côté de la porte et elles discutaient calmement. Elle n'allait plus jamais pouvoir célébrer cette fête. Ça lui manquerait... Mais bon, elle devait se changer les idées.

" Oui vous pou... "

Et avant même qu'elle ne finisse sa phrase, Leon trébucha. Un sourire orna finement ses lèvres. Après avoir hésiter pendant un court instant, elle avança finalement vers l'homme et lui tendit timidement la main.

" You should be careful, Are-you alright? "

Dit-elle de plus belle, dans un anglais sans accent. Il faut dire, par contre, que Lily ne réalisa pas qu'elle parlait en anglais; c'était une sorte de reflex. Avec son père, donc en français, ils parlaient de tout et de rien, mais lorsqu'il s'agissait de faire attention ou encore de la consoler, c'était toujours avec sa mère et donc, en anglais.

[hrp : vive google traduction xD (et oui même pour sa...) ]

Leon qui venais tous juste de reprendre ces esprist, vit une belle et fine main tendut vers lui et dans une phrase dite naturellement, la douce voie lui parlat d'un anglais parfait. Un instant Leon restat planté avec l'air le plus bête et idiot qu'il pouvait prendre. - Co-co...ment

Leon finit par attrapé la main, mais discrétement utilisa l'autre en point d'appuie pour ne pas faire basculé la jeune femme. Quands il fut remis sur pieds il se tourna à nouveau vers la jeune femme et la remercia d'un geste de la tête puis lui dit :

- C'est pas que je suis attiré naturellement par le sol mais...

Leon se tut et en un geste rapide il dégéna son arme fit passé d'un geste protecteur Lilian dans sont dos.

- Nous ne sommes pas seul... Il y a quelqu'un.
Leon n'était qu'un simple humain, il ne pouvait pas antisipé une attaque mais cette personne il l'avait sentit et ce depuis l'arriver Lilian.

- Lilian étais-tu suivie ?

Il attendit en fixant la pénombre qui entouré les deux jeunes.

[ XD 'zolée, je croyais pas que c'était compliqué ^^" ]

Linaly laissa échapper un rire joyeux et cristallin à la réplique du jeune homme.

" Mais les humains ne peuvent pas être attirés vers le sol! "

Dit-elle sérieusement, ne réalisant pas totalement qu'il s'agissait d'une blague. Dans les livres, on lui apprenait que les plantes pouvaient êtres attirées ainsi, mais pas les êtres humains... À moins que la gravité soit extrêmement forte, mais ce n'était pas le cas. Malgré l'aise qu'elle semblait avoir prit, elle se contracta à la vision de l'arme. Bien qu'elle ne ressentait aucune hostilité dirigée envers sa personne, elle n'aimait pas du tout les fusils.

" Suivie..? Non... Je ne crois pas... "

Sur ce, elle se retourna tout en scrutant les horizons. Aucune agressivité, mais bon, pouvait-elle réellement se fier sur son pouvoir emphatique? Elle en ignorait pratiquement tout; dont principalement le rayon d'action. Liliann devenait de plus en plus nerveuse, surtout avec Leon qui réagissait aussi brusquement...

Liliann était quelqu'un de très expressif, surtout au niveau de son visage; de ses yeux. Et d'ailleurs, lorsque Leon lui demanda où elle habitait, une expression triste envahie ses traits.

" Je... Je n'ai plus de maison... "

Dit-elle simplement, fixant dans le vide de son regard perdu, absent. On pouvait dire que ce dernier avait touché la corde sensible, c'est-à-dire tout ce qui touchait le passé. Ne faut-il pas oublier que dans la même journée elle avait tout perdu; ses parents, sa maison, sa vie douillette bien qu'isolée... Remuer le passé était donc très souffrant et peu plaisant. Lentement, et sans réellement le réaliser, sa main gauche vint frotter son bras droit, dans le but de la rassurer; Comme si elle cherchait à reproduire le geste maternel. Puis, le jeune homme parla de nouveau et l'adolescente cessa l'action de sa main pour la laisser pendre le long de son corps. Elle se retourna et marcha en direction de Leon, sans même parler. Si ce dernier avait remarqué qu'elle était instable psychologiquement, il remarquerait bientôt qu'en plus, elle était isolée et solitaire.